Il fermait sa gueule et balayait sans lever les yeux parce qu'il n'était pas chez lui... on parlait alors d'aliénation économique.
Aujourd'hui, l'arabe qui est né sur le sol français, n'a pas non plus le droit de l'ouvrir mais juste le droit de la fermer, parce qu'il est toujours arabe et qu'il n'est toujours pas chez lui.
Il n'est ni désirable, ni désiré à cause de sa race et de la crasse laissée par quelques apprentis terroristes, arabes ou islamistes qui ont compromis toute possibilité de coexistence pacifique entre français de souche et français sur la touche !
La France profonde voudrait éradiquer tous ceux qui ont des liens de parenté ou de familiarité avec les radicalisés...
Tous ces jeunes gens qui la renvoient à un ailleurs ou qui viennent d'ailleurs devraient s'écraser et non pavoiser pour des raisons politiques, pour préserver l'ordre public et assurer la sécurité du français impudique.
"Taisez-vous !" dit la France aux petits arabo-musulmans... pour les désenchanter ou les empêcher de chanter, ou d'arborer quelque signe d'étrangeté ou d'étrange identité.
Mennel a osé, avec son foulard et sa belle voix chanter en arabe sur les plateaux de TF1."T'es fou, hein ?". Et les coachs se sont retournés pour la féliciter à l'unanimité. Drame de lèse majesté, parce que pour les âmes hyper cacher, Mennel n'a fait que de la propagande au terrorisme, à l'arabo-islamisme, à la théorie du grand remplacement.
Sur les réseaux sociaux on va fouiller dans sa vie, dans ses poubelles pour la réprouver et prouver qu'elle n'est pas belle, mais juste rebelle !
Elle est complotiste, citoyenne indigne parce qu'elle a douté des attentats perpétrés sur notre sol au lieu de les redouter comme tout bon français.
Pour tout ce qui concerne les arabes, le doute n'est plus permis, il faut s'en méfier sous peine d'être accusé de haute trahison, de complicité avec les forces de dissolution de la nation.
Mennel est d'origine syrienne par dessus le marché. Double peine. Il faut donc l'éliminer... exterminer l'artiste qui fournit à l'ennemi, plus d'une piste.
Et moi, j'attends. J'attends de voir, d'entendre toutes les belles voix du monde s'élever ou crier leur désapprobation, leur écœurement, leur indignation.
C'est une mini Shoah qui nous indique où on va. Droit dans le mur. Mais sans aucun droit aux lamentations, s'il vous plaît !