Selon les termes de l'accord avec le gouvernement américain, Volkswagen doit retirer de la circulation au moins 85% des modèles diesel concernés, réparer les 15% restants, et enfin détruite ou réparer la majorité des véhicules qu'il a racheté.
Ces deux initiatives vont coûter tellement cher à l'entreprise que je ne serais pas surpris, en raison de son ADN et de ses nombreux dérapages en matière d'éthique, que beaucoup, la plupart peut-être, ou même la totalité d'entre eux pourraient « percoler » au sud de notre frontière pour être en quelque sorte revendu comme de bonnes voitures d'occase, et créer un peu de trésorerie qui la serait la bienvenue.
Donc, la prochaine fois que vous vous trouverez au Mexique, dans les Caraïbes, en Amérique centrale ou même en Patagonie, ne soyez pas choqués si vous avez reconnu votre TDI diesel ou celle de votre voisin qui continue de rouler en polluant la planète !