Bonjour
Il est étonnant comme Johannes Kepler a engagé la science physique dans la notion inter-relationnelle de "l'espace-temps"; et qui dit inter-relation dit évidemment relativité. Or nous allons voir qu'en disposant les trois lois par ordre décroissant, bien des questions se posent.. à moins qu'elles ne soient toujours la même ?
Passons directement donc à la troisième loi:
Le cube de la distance moyenne d'une planèteau Soleilest égale au carré de sa période de révolution
Nous voyons ci-dessus queaxe3= T²et qu'il manque une dimension de temps pour équilibrer celles de l'espace.
Passons à la seconde loi
Des aires égales balayées par l'axe d'une planèteau Soleilse font pendant des intervalles de temps égaux
Nous voyons ci-dessus quedes portions d'axe² = portions de temps1égaleset qu'il manque une dimension de temps pour équilibrer celles de l'espace.
Passons maintenant à la première loi
Les planètes décrivent des orbites elliptiquesdont le Soleilest l'un des foyers
Nous voyons ci-dessus que2 pi axe1= temps0et qu'il manque une dimension de temps pour équilibrer celles de l'espace;
La première conclusion est curieuse, et nous en avons déjà parlé: il manque une notion de temps pour équilibrer à chaque fois les 2 termes de l'égalité espace-temps.
La deuxième conclusion est logique, et liée ci-dessus à la première loi: le Soleil occupe une position dans le temps, et PAS dans l'espace !
La troisième conclusion, c'est que le Soleil est à la fois la lentille, la réfraction et la perception elle-même d'un astre qui se trouve ailleurs.. qu'à l'endroit où nous le situons !
Cette 3ième conclusion est un postulat qui n'est pas trop difficile à élaborer; et mes recherches en prennent le chemin: notre système tout entier est relativisé et donc positionné à l'extrémité d'une précession, dont la source est située certainement très loin au-dessus de lui.