LATTES – « Mais il faut bien vivre » – Théâtre Jacques-Cœur – 5 février

Publié le 03 février 2018 par Idherault.tv @ebola34

Cie Primesautier Théâtre

Mise en scène Antoine Wellens

Avec Fabienne Augié, Amarine Brunet, Virgile Simon, Jean-Christophe Vermot-Gauchy

Approche sociologique Jean Constance

Dispositif scénographique interactif, création sonore Élise Sorin, Mikael Gaudé

Composition bande originale, Mikaël Gaudé

Création lumières et éléments scénographiques Antoine Wellens, Nicolas Buisson

Coproduction Scène Nationale de Sète et du Bassin de Thau / Scènes Croisées de Lozère - Scène conventionnée écritures d'aujourd'hui / Théâtre Le Périscope - Nîmes

Avec l'aide de la DRAC Languedoc-Roussillon, de la Région Occitanie-Pyrénées-Méditerranée, du Conseil Général de l'Hérault et de la ville de Montpellier

La compagnie est conventionnée par la Région Occitanie - Pyrénées-Méditerranée

La compagnie a bénéficié d'une résidence de création au Domaine d'O, Domaine départemental d'art et de culture.

Lundi 5 février - 19h

Théâtre Jacques-Cœur - Lattes

durée 2h

" Quatre personnages en quête d'un auteur... "

Plus de deux heures de spectacle et, devant nos yeux, une performance.

Deux heures, durant lesquelles on a la sensation de voir naître, respirer, avec parfois des hoquets, une œuvre dont l'accouchement se passe en public.

Hoggart et la " culture du pauvre " comme viatique, nous voici en partance pour une grande aventure. L'aventure d'une triple action, celle d'une fiction dans laquelle interfère une série américaine, un de ces " soap " apprécié par la ménagère de cinquante ans, et la remise en question récurrente des acteurs, persistant à demeurer eux-mêmes. Des longueurs, quelques fois, des maladresses, mais un souffle qui emporte l'adhésion. Mary, fragile et robuste à la fois, partagée entre l'homme avec qui elle vit, Albert, et celui qui suscite son trouble, Richard James. Kate, celle qui se promène dans les couloirs de l'hôpital mais qui dit des choses si vraies, si lourdes de conséquences.

Nous étions venu dans cet hôpital anonyme voir la tante Annie et ce sont de grandes interrogations qui nous sautent au visage... (Marc Ely - IDHERAULT, mai 2016)

Théâtre Jacques-Cœur

LATTES