Le prix du baril de pétrole dépasse les 146 dollars

Publié le 03 juillet 2008 par Olive
Française, français, réveillons nous, l'essence augmente toujours, et voici les départs en vacances qui approchent et vont greffer votre budget.
Sarko vient de prendre la présidence européen, et avec l'idée de faire plafonner la TVA, car il reconnait que l'état fait des bénéfices sur cet impôt quand le pétrole augmente. Sarko nous ment, car il sait trés bien qu'au niveau européen, personne ne votera cette décision, seulement il dira c'est pas ma faute c'est l'europe, mais là où Sarko est un escroc, car il sait tout ça, c'est que s'il veut vraiment aider les français sur le prix de l'essence, il lui suffit tout simplement de baisser la TIPP seule taxe qui dépend seulement de la France et non au niveau européen. Donc vous voyez ainsi qu'il veut pas nous aider, car perte pour l'état.

Donc c'est pour cela que je vous demande un dernier petit effort avec ma pétition, si on arrive rapidement à 1000 signatures, j'enverrai le courrier et les signatures à Sarko!!!

Le baril de pétrole brut a dépassé jeudi matin le seuil des 146 dollars à Londres après avoir atteint de nouveaux records à New York, au-dessus de 145 dollars le baril, les cours soutenus par des stocks en baisse et des tensions géopolitiques alimentant des craintes sur l'offre.
Vers 11 heures, heure française, le baril de brent, échangé à Londres, a touché le prix record de 146,34 dollars. Au même moment, le light sweet crude, échangé à New York, valait au mieux 145,43 dollars le baril.
L'embrasement de mercredi et du début de matinée jeudi a été nourri par une diminution-surprise des stocks de brut américains. Les réserves de brut des États-Unis ont reculé la semaine dernière de 2 millions de barils à 299,8 millions de barils, et sont désormais de 15,3 % inférieures à leur niveau il y a un an plus tôt, selon le Département américain à l'Énergie (DoE).
Or, l'évolution de la consommation énergétique des Américains est très surveillée alors que les États-Unis entrent ce week-end dans la saison des grands déplacements estivaux en voiture.
Ce déclin des disponibilités américaines intervient également dans un contexte de craintes sur les approvisionnements, notamment dans le Golfe.
Enfin, la faiblesse du billet vert continue d'attirer les investisseurs qui veulent se prémunir contre l'inflation en se rabattant sur les matières premières.
Mercredi, vers minuit, heure française, l'euro était monté jusqu'à 1,5892 dollar pour un euro, au plus haut depuis le 24 avril, non loin de son record à 1,6019 dollar, atteint le 22 avril. Le dollar pourrait encore reculer jeudi avec la décision de la Banque centrale européenne, qui devrait relever son taux directeur, et la publication de chiffres sur l'emploi américain.


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