Vous y arrivez le moral à plat car vous avez raté votre présentation au DG. Ou parce que votre conjoint vous tape sur les nerfs.
Bref, vous avez des soucis !
A table, la conversation s’engage.
Ludivine : Je n’ai pas dormi de la nuit tellement je redoute le résultat du test. Et si j’étais enceinte ?
Alberto : Moi aussi, je n’ai que des nuits blanches depuis que Sylvain raconte que la boîte coule.
Euh… un peu de taboulé, propose Karen, la maitresse de maison, pour détendre l’atmosphère.
Florent : Non merci, je n’ai pas très faim.
T’imagines, je dois déménager à mille bornes si je veux suivre Véro. Donc, soit je suis ma femme et je perds mon job, soit l’inverse.
Pour changer de vie, ça on change de vie !
Vraiment, plus de taboulé, risque à nouveau Karen… sans grand succès.
L’atmosphère est un peu pesante, chacun ayant de bonnes raisons de se plaindre, de regretter sa situation.
En un mot, de se faire du souci.
Rachida : Quelle galère… je ne peux pas rembourser à la fois mon crédit relais et les traites de la voiture.
Si je continue à creuser mon découvert, je vais finir par trouver du pétrole.
Comme ça tu seras riche ! dit Karen, qui fait tout ce qu’elle peut pour réchauffer l’ambiance.
Très drôle… répond Rachida, si inquiète qu’elle n’a encore rien avalé.
Le dîner s’achève.
Vous en repartez avec un meilleur moral.
Pas un moral au top certes, mais un meilleur moral quand même.
Comme soulagé(e).
Parce que les autres vont mal ?
Non, bien sûr, il n’y a rien de réjouissant à cela.
Mais parce que vous venez de comprendre une vérité millénaire :
Si les soucis de tous étaient réunis dans un pot commun
chacun ne demanderait qu’à reprendre les siens !
Qu’en dites-vous : est-ce bien ainsi que vous traitez vos soucis ?
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