Dieu que ça me fait peine
De te voir courir à perdre haleine
Comme une petite bête à laine
Derrière les basques de la reine
Cherche plutôt la douce bergère
Au bord de l’eau et des prés verts
Pour gambader les pieds en l’air
Les idées claires et la tête légère
En laissant ton lourd manteau
Loin des bêlements du troupeau
Et lui écrire de jolis mots d’un trait
Sur la page arrachée d'un carnet
Qui restera un secret
Adélaide ❤