">% par rapport au trimestre passé.
Dans le tableau des statistiques montrant le produit brut des jeux, les revenus apportés par les jeux de casino traditionnles ont atteint 20,9 millions, soit à peu près 10 ">
">% du total, les machines à sous battent le record avec 193,5 millions, comptant une progression de 4,3 ">
">%, tandis que le Texas Hold’em apporte à lui seul 4,4 millions.
De plus, suivant une stratégie bien mise au point l’an passé, le casinotier français fait aussi des avances sur d’autres marché. Ainsi, la filiale du groupe, Partouche Interactive, vient d’acquérir le total des actions d’une société de le Canada, Edmonton, etc.">le Canada, Edmonton, etc.">paris sportifs qui est basée à Malte. Une autre filiale belge fonctionnant sous l’égide Partouche a obtenu la licence d’exploitation du casino de Dinan, récemment ouvert.
Quelle sera, donc, l’évolution du groupe au moment de la libéralisation des jeux, qui ne semble plus si lointaine en France? C’est pas très difficile à deviner, car en cas d’ouverture totale, la bataille que Partouche aura à mener sera contre son adversaire de même rang, Barrière. Jusqu’à présent, Partouche s’est maintenu en tête de liste. Il est, d’ailleurs, le seul en France à être côté en Bourse, bien que le cours soit tombé de plus de 50 ">
">% en un an. Une décroissance dûe, à côté de l’interdiction de fumer, au contrôle d’identité effectué à l’entrée. Mais avec sa stratégie de développement, qui prévoit, parmi d’autres, la création d’une télévision (Cash TV) et d’une société de jeu par téléphone (Partouche Mobile), Patrick Partouche peut être certain que son succès perdurera.