Dans d'autres vie(s) bloguesques, Nikkos est celui qui incarne pour moi la vigilance concernant Ingrid Betancourt. C'est lui qui a su m'expliquer ce qu'il se passait, qui était cette femme, etc, etc. Lui qui rappelait régulièrement qu'il ne fallait ni oublier ni relâcher la garde. Alors hier soir, forcément, j'ai pensé à lui trés vite après avoir appris que Colombie ne rimait pas seulement avec café mais avec, pour quinze personnes, liberté. Et ce matin, j'ai souri en allant sur son blog. Idée toute simple qu'il convenait d'avoir eue : il a mis son blog à l'heure de Bogota.
Ambiance sonore :