Lorsque j'étais enfant, cette inscription " SAUVER OU PÉRIR " sur l'insigne de pompiers m'impressionnait. Aujourd'hui elle prend tout son sens avec deux récentes tragédies chez les soldats du feu.
En Savoie, lors d'un sauvetage dans le cadre de la tempête Éleanor, un pompier volontaire de 63 ans est tombé à l'eau, son corps a été retrouvé le lendemain.
Dans le Pas-de-Calais, deux pompiers ont péri dans l'incendie d'une maison sans pouvoir sauver les deux adolescents qui se trouvaient prisonniers des flammes.
Toute ma compassion et mon soutien vont à ces hommes et femmes courageux dont la vocation remonte souvent à la plus tendre enfance, ainsi qu'à celles et ceux qui projettent aujourd'hui d'y consacrer leur vie.