L'idée était bonne, j'en avais fait même un article lors de son lancement dans ma ville, en novembre dernier : Gobee.bike sur iPhone ou comment un partager un vélo sans station
À ce jour, 380 vélos sont hors d’état sur les 400 disponibles. Une cata que l'on doit à tous ses abrutis qui n'ont qu'un but, casser, voler... Bref, pourrir notre vie (et notre ville).
C'est vrai que depuis plusieurs jours, je ne voyais plus les vélos verts dans notre ville de Reims. Bizarre, j'avais pris l'habitude de les apercevoir à chaque coin de rue, à la disposition de tous, pourvu qu'ils avaient téléchargé l'application sur leur smartphone. 0,50 € la demie-heure, pas de quoi s'en passer.
Mais les vandales sont passés par là : Souvent, la selle avait disparue, le cadenas avait été forcé, sans parler de la disparition du petit panier sur le guidon ou des rayons abîmés. Parfois même, les poignées en caoutchouc et les éclairages étaient dérobés. Des vélos complets ont été volés et revendus sur Leboncoin, ou alors balancer dans le canal.
Sur le journal l'Union, on apprend que la société GooBee.bike a maintenant deux options :
- remettre sur roues une flotte de vélos
ou
- se désengager de la ville de Reims