Ça me semble tout ce qu'il y a de plus vrai et nécessaire à vous souhaiter pour 2018.
Aujourd'hui marque la page 1 d'un splendide livre que devra en contenir 365, faites en une merveille.
C'est le moment de vous souhaiter toute la chance possible. De vous étouffer d'amour jusqu'à ce que vos yeux en deviennent gorgés de coeurs.
Voici des images qui me font penser à l'année laissée derrière:
Las Vegas, la tuerie, NRA, toujours complice.
Le festival des couleurs de Mumbai en Inde. Un jour, les femmes d'Inde seront égales aux autres.
Les États-Unis de Donald Trump, un suprémaciste blanc à la sortie d'un discours raciste à l'Université de Floride, à Gainesville.
Londres brûle. Les pauvres n'ont jamais les même chances que les autres.
La vie des Noirs compte.
Que deviendra la Syrie?...
Qu'est-ce que je t'aime toi.
Souhaiter un monde meilleur.
Souhaiter qu'il sache viser.
Lumière sur les femmes. La beauté du monde.
Donald, tu n'es rien pour le monde que mensonge. La foule pour fêter ton sacre présidentiel à gauche, celle d'Obama, à droite. Tu n'es que foutaise honteuse.
Mais non, les Russes ne sont pas en Ukraine, bon, il y a bien ces deux tanks égarés, mais sinon l'Ukraine s'organise toute seule, voyons.
2018: Intimider is out.
Pour se tenir debout, par terre on doit mettre un genou.
Respect pour les femmes, à jamais.
Gardons l'oeil ouvert pour 2018.
Bonne année à tous et que le meilleur vous arrive.
Dans la paix et la dignité.
Merci aux fidèles et infidèles.
Merci à la France qui semble répondre à mes échos d'Amérique.
Merci la vie.