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Éditorial: Thaïlande, vers l'extinction des gitans de la mer (Maniq/Sakai)
Publié le 23 décembre 2017 par Voyageurasie"Nous nous appelons Maniq qui signifie" humain "parce que nous ne sommes pas différents des autres","Nous n'aimons pas le mot" sakai "parce qu'il est péjoratif, impliquant" esclave "ou" barbarisme ",similaire à" khaek "pour les Indiens, ou" jek "pour les Chinois"
Éditorial du Bangkok Post, ⇓Il était une fois un Maniq payé 20 baht par jour pour désherber un jardin dans une maison dans la province de Satun. Cela ne lui suffisait pas pour acheter de la nourriture ou d'autres nécessités de base. A déclaré Thao Khai Srimanang, un leader de la communauté Maniq .En Thaïlande, la minorité Maniq, vit dans les provinces de Yala, Narathiwat, Phatthalung, Trang et Satun
L'expulsion des forêts et l'exploitation ont privé la minorité maniq d'un moyen de subsistance. Beaucoup veulent maintenant quitter la vie nomadeIl a fallu du temps aux autorités pour les localiser et leur faire comprendre le processus de vérification de leur ADN avec leurs ancêtres
Certains Maniq ont refusé de donner des échantillons de sang pour le test d'ADN car ils pensaient que le sang serait vidé de leurs corps
Origines migratoire...la suite sur le Bangkok Post, l'article complet ICIcrédit photo Bangkok Post