Je crois bien que mon karma est là : noircir des pages et lire les pages de ceux qui ont noirci des pages, etc. Chacun a ses lubies. Voilà la mienne. Hier, un auteur racontait qu'il avait commencé par écrire des chansons pour Moustaki, sans les lui envoyer. puis elle avait écrit un livre et l'avait fait passer à Kessel pour qu'il en fasse la préface. En toute simplicité. Et Kessel lui a répondu. Et elle a été publiée. Des histoires comme celle-là, j'en entends 15 à la douzaine dans un salon. On est tous barges, et c'est tellement rassurant. Prêts à tout pour nos perles d'encre égarées sur nos feuilles. On est comme ça.
Bon, si vous êtes à Metz, passez me voir.
La biz