Rentrée littéraire 2017
Le titre :
L’essence du mal de Luca D’Andréa aux édition Denoël, 464 pages, 21 € 90. Publié le 26 octobre 2017.
Pourquoi cette lecture :
Il s’agit d’un partenariat avec les éditions Denoël.J’ai choisi ce titre dans leur catalogue sur simple lecture du pitch.
Le pitch :
Chaque psychiatre a, au cours de sa carrière, rencontré un patient pas comme les autres. Un patient qui l'obsède, qui hante ses pensées et ses cauchemars. Pour Felicity Sloane, experte médico-légale à Boston, il s'agit d'Archie Ferber, jeune Texan timide qui a fait fortune dans la restauration. Lui et son compagnon Matthew désirent un enfant à tout prix. Toutes leurs tentatives d'adoption aux Etats-Unis se soldant par des échecs, ils se tournent vers l'Afrique du Sud, pays d'origine de Matthew, où ils font appel à une mère porteuse qui met au monde la petite Hannah.
Mais le bébé disparaît, la mère est sauvagement assassinée, et c'est Archie qui est montré du doigt. Y compris par Matthew. La seule personne capable de le sauver d'une extradition vers l'Afrique du Sud est Felicity Sloane. Celle-ci est capable de mesurer les tendances meurtrières d'un suspect grâce à des techniques de pointe. Mais cela suffira-t-il à tirer Archie d'affaire ? Et est-il réellement l'innocente victime qu'il prétend être ?
Ce que j’en pense :
Les raisons qui me poussent à ouvrir un livre sont le plus souvent très basiques : la curiosité, l’envie d’en savoir plus, l’attirance pour une belle couverture… Bref, je ne suis pas très originale et même pire encore, je suis faible car je me laisse très facilement tenter. Par chance ou grâce à une bonne étoile de la lecture, je suis rarement déçue, enfin vraiment très très déçue de mes choix. Il y a toujours quelque chose de bon à retenir d’une lecture même si elle est imparfaite.
Dans le cas qui nous intéresse aujourd’hui disons que le premier plus est que nous avons droit à deux histoires en une. On est partagé entre le passé (une trentaine d’années en arrière) et le présent. Forcément, ce duo possède un point commun… Un homme.
C’est son obcession, sa quête entre autre qui va nous contaminé et faire que l’on ne lâchera pas le livre. Il y a aussi l’écriture habile de l’auteur. Cela se lit facilement et on est vite emporté en dehors de notre petit quotidien, même quand certains passages introductifs peuvent paraître un tantinet longuets, il y a forcément une excellente raison à cela. Faîtes confiance à l’auteur…
La seconde qualité de cet ouvrage est qu’il est addictif. La troisième est qu’on en aurait voulu presque un peu plus… La quatrième… Lisez-le, vous la trouverez.
Et s’il fallait mettre une note :15 / 20