untitled de blanc – Aurore de La Morinerie
PREMIÈRE VENTE EN LIGNE D’AURORE DE LA MORINERIE
Voici le “Nu assis” estampe réalisée en série limitée de 300 exemplaires sur papier japon, par l’illustratrice Aurore de La Morinerie. Pour la première fois les œuvres de l’artiste sont disponibles en ligne sur son eshop
Artiste et dessinatrice française, Aurore de La Morinerie est diplômée de l’Ecole supérieure des Arts appliqués Duperré, à Paris, où elle acquiert une formation de styliste de mode. Parallèlement, elle suit des cours de calligraphie et de peinture chinoise.
Cette formation est déterminante dans la construction de son style qui privilégie la rapidité et la précision affranchi son œuvre de tout aspect narratif et anecdotique. Elle s’attache à transcrire l’essence des êtres et des choses d’une manière plus allusive que descriptive. Parallèlement au lavis, son utilisation de la technique du monotype joue avec l’aléatoire qui vient perturber et enrichir la rigueur de son trait. Son travail tend souvent vers l’abstraction notamment dans le cadre de commandes liées aux domaines du design, du mobilier ou de l’architecture.
Son succès en tant qu’illustratrice de mode se confirme dès les années 1990. Elle travaille pour Hermès, Alaïa, Chanel, Cartier, Rochas, Tiffany, le journal Le Monde et son supplément, les magazines de mode – parmi lesquels les éditions française et américaine de Vogue ainsi que pour Harper’s Bazaar aux Etats-Unis et en Grande Bretagne. Le groupe Méridien et, plus récemment, les grands magasins le Printemps et Nieman Marcus ont fait appel à son talent.
En parallèle, Aurore de La Morinerie réalise des dessins pour des ouvrages littéraires et pour des livres destinés à la jeunesse. Elle se consacre également à l’étude du paysage et de la faune.Elle participe à des expositions organisées par la Galerie Bartsch and Chariau (Londres, Design Museum 2010, Hambourg Kunst und Gewerbe Museum 2015…).
En 2011 et en 2015, le Palais Galliera, à Paris, lui passe commande d’une série de monotypes pour le catalogue de l’exposition dédiée à Azzedine Alaïa, ainsi que d’un ensemble de dessins exposés et reproduits au catalogue de l’exposition “La Mode retrouvée, les robes trésors de la comtesse Greffulhe”. Dix œuvres de l’artiste font partie des collections permanentes du département des arts graphiques du Palais Galliera.