Le président tchèque Vaclav Klaus soutient la décision de son homologue polonais Lech Kaczynski de ne pas ratifier le traité européen de Lisbonne. Le porte-parole de M. Klaus a expliqué :
"Il considère l'opinion (de M. Kaczynski) sur le traité de Lisbonne comme très raisonnable et très proche de la sienne".
Avec le grain de sable allemand, on peut considérer, comme Henri Védas, que l'un des ressorts principaux que les fédéralistes veulent utiliser contre les Irlandais, une illusion d'unanimité pro-Lisbonne dans les 26 autres pays, est cassé.