On n'a même pas besoin de forcer le trait pour rire ou ne pas rire du portrait qu'il fait de son prochain... l' Africain.
Celui qui s'est auto chargé du climat, à l'échelle de la planète, ne s'est pas senti habilité à répondre à une question sur la climatisation.
Pour surplomber son auditoire noir, le président enfonce le clou, bien profond, sans savoir où et en disant en substance :
"C'est à celui qui vous a plombé de se charger de votre plomberie...
Moi, je suis président, c'est lui le plombier... regardez le, il n'a aucune envie d'assumer, il est même entrain de nous semer...
C'est très nuancé comme sentence : vous avez chassé votre colon, ce n'est donc pas à moi qu'il faut soumettre votre problème à la con ! "
C'est pourri ? Non c'est pour rire. Ce Macron me rappelle Toto... Toto s'est emparé d'une buchette et a crevé avec, l'œil de Titi. Devant le juge il a expliqué que c'était pour détendre l'atmosphère, il ignorait que certaines plaisanteries pouvaient couter très cher... a posteriori et pour la postérité.
Le faiseur des climats n'est pas fait pour les climatiseurs.
En réalité, les étudiants noirs ne faisaient pas du tout les mendiants.
Ils se sentaient ballotés et pas assez culottés pour rétorquer à ce professeur effronté qu'il n'était là que pour vendre ses climatiseurs.
Mais leur politesse et leur sens de l'hospitalité leur interdisaient de se moquer de son sot métier : vendeur qui les traite de vendus.
Notre président qui est blanc comme un lavabo, a manqué d'adresse, d'esprit de finesse.
Comment a-t-il pu ignorer à ce point les secrets de la noblesse qui ne s'autorise jamais ce genre de bassesse ?
Je ne le soupçonne pas d'avoir un quelconque mépris mais d'être sûr de lui au point de s'autoriser certaines méprises.
Il n'abuse pas, il s'amuse. Il a fait le voyage avec sa tête mais sans ses pincettes... je rassure les noirs, il n'a pas plus de respect pour les blancs !
Même si avec eux, il prend des gants.
Pour lui, autour de lui, d'après lui, il n'y a que des glands !