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De la violence des gosses de riches #Gud #identitaires #antifa

Publié le 28 novembre 2017 par Mister Gdec

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De la violence des gosses de riches #Gud #identitaires #antifa

Le Monde découvre donc l’existence de ces graines de terroristes d’extrême-droite qui constituent la force de frappe, la véritable armée de réserve de l’extrême-droite, FN et satellites compris. Vous m’en voyez fort aise. Nous n’avons cependant pas attendu après eux pour connaitre leur existence et leur dangerosité. Pour ma part, j’ai déjà parlé de ces racailles identitaires – les mêmes, exactement, dont un fils de notable du FN  Pays de Loire –  ici, ici, et là, et encore là. je les ai suivis à la trace, article après article, de tuyaux des amis antifas du secteur en alerte vigilante d’autres amis antifas (qu’ils en soient ici même remerciés, ils se reconnaitront). On pensait que les voyous étaient l’apanage des classes dangereuses, des milieux défavorisés. On les découvre gosses de riches, fils de bourgeois cossus. Peut-être devrais-je les plaindre,  me soucier de leur enfance malheureuse, de leurs contraintes familiales insupportables, de leurs relations difficiles avec les autres, ou que sais je encore, en bon ancien travailleur social que je suis. Mais non, je ne peux pas : excuser, c’est déjà un peu pardonner. Et je ne pourrai jamais pardonner à ces imbéciles ultra-violents qui ne manquent pourtant de rien, livrés à eux mêmes et à leurs démons intérieurs si facilement identifiables en la personne de l’immigré, du noir ou de l’arabe qu’ils pourchassent de leur vindicte obsessionnelle…  Une certaine « culture » familiale n’y est probablement pas pour rien, ce qui n’empêche pourtant pas ces milieux là, bien propres sur eux, de stigmatiser toujours les mêmes, les plus modestes et les plus démunis de notre pays, appelés par les mêmes si aisément « racailles ». D’où ma revanche de les nommer en retour « racailles identitaires », puisque l’une de leurs organisations, Génération identitaire, se plait à se mettre en scène dans de médiatiques opérations dénommées sobrement patrouilles anti-racailles. La preuve en est ici, apportée très factuellement,  qu’ils en sont tout autant si ce n’est davantage. Et qui nous prémunira contre eux ?

Et aussi, et surtout, je ne peux pardonner à ces ordures qui ont laissé à terre l’une de  leurs jeunes victimes innocentes,  avec comme cadeau d’anniversaire une année entière d’interruption totale de travail (ITT), et un risque d’infirmité permanente.

Qu’ils paient. Cher. Ni oubli ni pardon.


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