En 1984, à Hawkins dans l’Indiana, un an a passé depuis l’attaque du Démogorgon et la disparition d’Onze. Will Byers a des visions du Monde à l’envers et de son maître, une créature gigantesque et tentaculaire. Plusieurs signes indiquent que les monstres vont franchir le portail et revenir sur la ville.
Dire que la 2e saison de Stranger things était attendu serait bien faible. Mais le défi était grand. Les frères Duffer pouvaient-ils faire aussi bien que la première saison, sachant qu’il n’y avait plus l’effet de surprise. En revanche, il y avait beaucoup d’attente de la part des fans. Stranger things dès ses débuts a suscité l’intérêt de tous les spectateurs. Une atmosphère radicalement différentes des séries déjà existence, des personnages attachants et une pointe de nostalgie avec les annes 80.
Je dois dire que j’ai été immédiatement happé par l’histoire. Si bien que je suis restée eveillée jusqu’à 1h du matin et ce n’est que vaincu par la fatigue et la raison que j’ai etendu le lendemain pour visionner la suite. Le format court (13 épisodes) est toujours aussi efficace. Cette fois les effets spéciaux sont plus présent, mais ce n’est pas une mauvaise chose. Cela donne un côté vraiment étrange et angoissent.
Des personnages plein d’humour, des situations de conflits intéressante, des histoires d’amour et d’amitié qui font plaisir à voir car elles ne tombent jamais dans la niaiserie. J’ai beaucoup aimé le personnage de Bob incarné par Sean Astin. La série possède avant tout un scénario bien construit qui tient en haleine et vous oblige, presque, à binge watcher la série !
N’hésitez pas à regarder les bonus avec les interviews des acteurs et des producteurs de la série, c’est très intéressant et on y apprend quelques anecdotes.
La saison 2 Stranger things a dépasser mes espérances. Elle démarre plus vite que la première et elle se termine sur une note positive mais malgré tout on imagine aisément que la 3e saison va pointer le bout de son nez. Merci Netflix pour ces grands moments de télévision.