Nous apprenons en lisant dans Riposte Laïque un article d’Eric Lhullier ici que le gouvernement a renoncé à faire la chasse aux terroristes.
Quand on veut se débarrasser de gens dangereux, on y met les moyens. Des ballons de baudruche contre des kalashnikov ou des voitures folles, c’est d’une efficacité très relative, sauf peut-être dans certains dessins animés.
Quand notre chef auto-proclamé des armées considère qu’il faut laisser rentrer en France les djihadistes d’EI qui sont coincés là-bas, c’est bien pour qu’ils continuent en France leur basse besogne d’extermination des non musulmans et des musulmans trop mous. Parce que si nous voulons en finir avec les attentats, il y a des solutions très simples que nous pouvons très vite mettre en œuvre : pour commencer défranciser les djihadistes bi-nationaux qui sont allés guerroyer contre nos forces armées, et les laisser où ils sont, ils y seront parfaitement jugés. Rétablir les tribunaux militaires pour les Français de souche et les juger pour haute trahison (mais je crois qu’il faudrait y ajouter quelques politiciens), supprimer toute aide sociale à la famille des djihadistes restée en France et réaffecter ces sommes à l’indemnisation des victimes. Enfin, donner un énorme coup de balai dans les banlieues.
Mais non, notre gouvernement ne veut pas en finir avec le terrorisme, c’est un prétexte pour fliquer les Français. Leur vie, il s’en fout, ses membres sont bien protégés.
Alors, il crée DIVA. Diva n’est pas une chanteuse d’opéra mais une de ses vraies danseuses entretenues par notre belle république. Ça veut dire : Déléguée Interministérielle (pour l’aide) aux Victimes d’Attentats. Et bien entendu ça va se traduire par une taxe sur nos polices d’assurances. Une de plus. Après la taxe de 9% (on ignore pourquoi, sans doute parce qu’un contrat sans taxe est insupportable pour notre état glouton), après la taxe « catastrophes naturelles » que vous payez que vous habitiez dans une zone inondable ou sismique ou dans une zone sans le moindre risque connu et qui ne sert qu’à compliquer les indemnisations des victimes, voici la taxe « attentats » destinée évidemment à augmenter chaque année. Cela signifie bien que le gouvernement n’a aucune intention de lutter contre le terrorisme, qui devient un état permanent avec lequel on nous impose de vivre (ou de mourir), puisqu’il ouvre une caisse d’indemnisation pour les prochaines victimes. C’est donc qu’il en prévoie beaucoup. Le plus fort de l’histoire c’est que les victimes paient d’avance, non pas leur protection comme elles le feraient avec la mafia, mais la réparation des dégâts dont elles souffriront par l’incapacité de cette même mafia à tenir son contrat. Un peu comme si un parrain vous demandait de payer une somme non pas pour protéger votre boîte de nuit, mais pour la faire réparer quand elle sera brûlée parce qu’en fait il se sait incapable d’éviter la casse.
Décidément l’œil de Soros a bien déniché celui qui se voit déjà président d’Europe et rêve maintenant d’être Calife au Moyen-Orient : « un nabot pour les gouverner tous et dans les ténèbres les lier ».