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Faire du vieux avec du neuf. C’est la recette du succès du Postmodern Jukebox. Ce collectif américain, de plus de 70 musiciens, dirigé par le pianiste et arrangeur Scott Bradlee fait des reprises de tubes d’aujourd’hui en y ajoutant du rythm’n blues vintage.
"We Can't Stop" de Miley Cyrus interprété dans le style doo wop des années '50, "Thrift Shop" de Macklemore avec des accents jazz sortant tout droit des années '20 ou encore "Die Young" de Ke$ha façon country: Scott Bradlee & Postmodern Jukebox savent tout faire. De "Seven Nation Army" à "Sorry", en passant par "Creep" et "Get Lucky", ils réussissent les plus folles adaptations.
Pour se faire connaître, Scott Bradlee a l'idée de créer une chaîne YouTube. Il y revisite d'abord des chansons du groupe Nickelback avec des arrangements R'n'B des années '60. Plus ambitieux, le pianiste new-yorkais commence alors à travailler avec Postmodern Jukebox, un collectif composé de plusieurs groupes qui se relaient au fil des vidéos.
Le 6e album de la formation, "Historical Misappropriation", sorti en 2017, s'est directement classé dans le Top 10 des meilleures ventes jazz du Billboard.