- Brigitte Giraud. Un loup pour l’homme (Flammarion)
- Véronique Olmi. Bakhita (Albin Michel)
- Monica Sabolo. Summer (Lattès)
- Alice Zeniter. L’art de perdre (Flammarion)
Magazine Culture
Le palmarès 2017 des prix littéraires est plutôt rassurant. La plupart des ouvrages couronnés ont des qualités que, d'ailleurs, la plupart des commentateurs s'accordent à leur reconnaître. Une seule fausse note dans cette histoire: il y manque cruellement de femmes.
Le Prix Goncourt des Lycéens, réputé le meilleur accélérateur des ventes, s'est promis d'y remédier (même s'il n'y a pas eu de concertation à ce sujet, ce que j'ignora totalement): les quatre finalistes sont des finaliste.e.s, si j'ose ainsi l'écrire, au risque de m'attirer les foudres de l'Académie française - mais je suis tranquille, je suis à peu près certain que personne, parmi ses membres, ne lit ceci.
Donc, jeudi, une de ces quatre romancières entrera au palmarès du Goncourt des lycéens: