Avis : Je vais sans doute me répéter dans cette critique. J’aime l’écriture de l’auteur, j’aime sa façon de faire, c’est censé nous montrer une histoire triste, mais ça en devient loufoque et marrant à cause de sa façon d’écrire (et c’est voulu j’imagine). Ce tome-là je l’ai trouvé un peu plus dur à cause de ce qui arrive à Klaus, ça m’a un peu fait froid dans le dos. Leur nouveau tuteur est un patron qui ne pense qu’à l’argent et au profit et qui est prêt à faire travailler des enfants pour ça, en passant un contrat pas du tout équitable, et qui paye ses ouvriers avec des bons de réduction, et qui ne leur donne que du chewing gum le midi, avec seulement cinq minutes de pause. Comme les autres adultes, il n’écoute pas les orphelins. Au final ils sont encore obligés de se débrouiller seuls, et ils s’en sortent plutôt bien. Dans ce tome-ci j’ai beaucoup aimé Phil, l’incroyable optimiste qui trouve toujours quelque chose de bon dans sa situation même si elle est très mauvaise. Encore une fois, une très bonne lecture.
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