Et la voila: la déception du mois d’octobre 2017. Avec 12 livres lus sur un seul mois, il en fallait un moins bon que les autres… et ce fut Ailleurs, plus loin. Ce livre était dans ma Wish-List depuis un petit moment, alors quand je l’ai vu chez Gibert Joseph, j’ai craqué sans réflechir…
Erreur!
Si j’avais pris le temps d’aller sur Livraddict, j’aurais vu que ce livre peinait à dépasser le 10 de moyenne…
De quoi ça parle?
1924. Fuyant la Russie après le massacre de sa famille lors d’un pogrom, Lilian Leyb, vingt-deux ans, débarque à New York.
Elle loue un demi-matelas dans un appartement surpeuplé et pouilleux du Lower East Side, souffle un travail de couturière dans un théâtre yiddish à une file de candidates, et, brûlant d’apprendre l’anglais, se récite des litanies de synonymes (petit ami : soupirant, jules, roméo), tirés du thésaurus offert par son ami Yaakov, tailleur, acteur, dramaturge – et Pygmalion. Mais le jour où Lilian découvre que sa fille, Sophie, serait encore en vie quelque part en Sibérie, elle n’a plus qu’une obsession : la retrouver. Elle part, une carte de l’Ouest américain cousue dans son manteau, pour un périple qui commence dans un réduit du train express de Chicago. Et le conte traditionnel de l’immigrant va se métamorphoser en aventure d’exil, des bas-fonds du Jazz District de Seattle jusqu’au sauvage Alaska et au Yukon des trappeurs…
Mon avis:
Je me suis ennuyée… Vraiment.
L’héroïne enchaine les aventures dans tous les coins, mais ce n’est pas passionnant. Je l’ai terminé pour dire de le terminer. L’histoire de Lilian est pourtant triste, mais je n’ai pas su accrocher, ni m’émouvoir. Le style d’écriture de l’auteure y est surement pour quelque chose. Impossible pour moi de rentrer dans l’histoire.
Tant pis!
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