L’écriture, ce merveilleux moyen de communication et de mémoire a toujours demandé des supports et des instruments. On peut écrire avec les doigts dans le sable ou la neige. Mais graver dans une roche, dans la cire d’une tablette ou sur un papyrus nécessite autre chose : un poinçon, un stylet, un calame. Sur un parchemin, on utilise une plume d’oie. Mais il faut la tailler souvent et bien, pour ne pas gâcher son ouvrage avec un vilain pâté. Par contre, quand elle n’est plus utilisable, on la jette. Tout comme d’ailleurs on jettera plus tard une plume métallique. Si je regroupais les “sergent-major” que tu m’as fait user ma petite Memphis, il y en aurait un bon tas ! Et les crayons, qui existaient déjà dès le XVIème siècle... Une vraie rente ! Pas question cependant, pour te dessiner d’utiliser un stylo à encre. D’ailleurs, est-ce S. Parker, un professeur, ou Lewis Waterman, un agent d’assurances qui aurait loupé un contrat parce qu’il avait fait un pâté sur son document qui inventa le stylo à réservoir ? Ou un autre dont ils auraient “piqué” l’invention ? Pas question non plus d’utiliser un stylo bille, inventé en 1865 par un Hongrois domicilié en Argentine, un certain José Ladislas Biro http://www.lepoint.fr/culture/mais-qu-a-donc-invente-laszlo-jozsef-biro-29-09-2016-2072270_3.php et copié et mis en vente à New York par Reynold’s en 1945. En 1950, le Baron Marcel Bich https://www.bicworld.com/fr/espace-presse/communiques-de-presse/2014-100eme-anniversaire-de-la-naissance-de-marcel-bich-president-fondateur-de-bic rachètera le brevet et lancera le stylo Bic, transparent pour voir la couleur et le niveau de l’encre et surtout, d’un prix abordable pour tous. Puis viendront le rétractable, le quatre couleurs, etc. La marque fabriquera par la suite les briquets et les rasoirs jetables, les feutres, les surligneurs et les crayons correcteurs etc. Vous avez reconnu la patte de Savignac, pour faire courir la pointe Bic
L’écriture, ce merveilleux moyen de communication et de mémoire a toujours demandé des supports et des instruments. On peut écrire avec les doigts dans le sable ou la neige. Mais graver dans une roche, dans la cire d’une tablette ou sur un papyrus nécessite autre chose : un poinçon, un stylet, un calame. Sur un parchemin, on utilise une plume d’oie. Mais il faut la tailler souvent et bien, pour ne pas gâcher son ouvrage avec un vilain pâté. Par contre, quand elle n’est plus utilisable, on la jette. Tout comme d’ailleurs on jettera plus tard une plume métallique. Si je regroupais les “sergent-major” que tu m’as fait user ma petite Memphis, il y en aurait un bon tas ! Et les crayons, qui existaient déjà dès le XVIème siècle... Une vraie rente ! Pas question cependant, pour te dessiner d’utiliser un stylo à encre. D’ailleurs, est-ce S. Parker, un professeur, ou Lewis Waterman, un agent d’assurances qui aurait loupé un contrat parce qu’il avait fait un pâté sur son document qui inventa le stylo à réservoir ? Ou un autre dont ils auraient “piqué” l’invention ? Pas question non plus d’utiliser un stylo bille, inventé en 1865 par un Hongrois domicilié en Argentine, un certain José Ladislas Biro http://www.lepoint.fr/culture/mais-qu-a-donc-invente-laszlo-jozsef-biro-29-09-2016-2072270_3.php et copié et mis en vente à New York par Reynold’s en 1945. En 1950, le Baron Marcel Bich https://www.bicworld.com/fr/espace-presse/communiques-de-presse/2014-100eme-anniversaire-de-la-naissance-de-marcel-bich-president-fondateur-de-bic rachètera le brevet et lancera le stylo Bic, transparent pour voir la couleur et le niveau de l’encre et surtout, d’un prix abordable pour tous. Puis viendront le rétractable, le quatre couleurs, etc. La marque fabriquera par la suite les briquets et les rasoirs jetables, les feutres, les surligneurs et les crayons correcteurs etc. Vous avez reconnu la patte de Savignac, pour faire courir la pointe Bic