Les Fourberies de Scapin: le théâtre au ciné, c’est bien?
Par Cinedingue
@cinedingue
Les Fourberies de Scapin – Comédie en trois actes de Molière – Mise en scène Denis Podalydès – Scénographie : Éric Ruf – Costumes : Christian Lacroix – Lumières : Stéphanie Daniel – Son : Bernard Valléry – Maquillages : Véronique Soulier Nguyen – Collaboration artistique et chorégraphique : Leslie Menu – Assistanat à la mise en scène : Alison Hornus – Assistanat à la scénographie : Dominique Schmitt – Avec la troupe de la Comédie Française : Bakary Sangaré – Gilles David – Adeline d’Hermy – Benjamin Lavernhe – Claire de La Rüe du Can – Didier Sandre – Pauline Clément – Julien Frison – Gaël Kamilindi – et les comédiennes de l’Académie Maïka Louakairim et Aude Rouanet – Lieu : Comedie Francaise – Ville : Paris – Le 08 09 2017 – Photo : Christophe RAYNAUD DE LAGE
Les Fourberies de Scapin – Comédie en trois actes de Molière – Mise en scène Denis Podalydès – Scénographie : Éric Ruf – Costumes : Christian Lacroix – Lumières : Stéphanie Daniel – Son : Bernard Valléry – Maquillages : Véronique Soulier Nguyen – Collaboration artistique et chorégraphique : Leslie Menu – Assistanat à la mise en scène : Alison Hornus – Assistanat à la scénographie : Dominique Schmitt – Avec la troupe de la Comédie Française : Bakary Sangaré – Gilles David – Adeline d’Hermy – Benjamin Lavernhe – Claire de La Rüe du Can – Didier Sandre – Pauline Clément – Julien Frison – Gaël Kamilindi – et les comédiennes de l’Académie Maïka Louakairim et Aude Rouanet – Lieu : Comedie Francaise – Ville : Paris – Le 19 09 2017 – Photo : Christophe RAYNAUD DE LAGE
Hier soir, dans le cadre de Pathé Live, il était possible d’assister à une représentation de la nouvelle version des « Fourberies de Scapin » de Molière par la Comédie Française dans certaines salles de ciné du pays.
L’occasion m’a été donnée d’assister à cette projection en compagnie de mes enfants. Après une petite vidéo « making of » permettant d’admirer le travail notamment sur les décors et les costumes, la pièce débute.
Mise en scène par Denis Podalydès, la pièce de Molière retrouve une seconde jeunesse. On retrouve le valet Scapin, qui ne prend jamais autant de plaisir que lorsqu’il monte quelques « machines » au détriment des uns et des autres. Il s’amuse ici alors qu’Octave vient le supplier de l’aider: son père arrive pour le mariage qu’il a décidé pour son fils mais en son absence, ce dernier a déjà convolé! Grâce à un Benjamin Lavernhe absolument dantesque, usant à merveille de toutes les gammes de jeu, s’amusant même avec le public, la version de Podalydès est un bijou d’humour mais aussi de cruauté, le coquin valet ne reculant devant aucune extrêmité!
L’expérience vaut donc le détour même si quelques coupures d’images brèves mais récurrentes sont à regretter.
Publicités