La gravitation quantique sur le modèle de l'effet Casimir

Publié le 25 octobre 2017 par Feydharkonnen

Bonjour,

La gravitation quantique est une force attractive due à la fluctuation inversée du champ du vide [b]entre deux résistances[/b] (restrictions) parallèles de section S.

Le retour à la normale des fluctuations du vide de pression c^3 ne peut que ramener à l'antigravité normale qui existe déjà dans tout l'Univers; à l'intérieur du vide quantique universel -et sans entrave-, la dimension de la pression est égale à la densité réelle de l'énergie du vide E = c^3, énergie qui prend au final la même valeur.

[vert][i]A tire de comparaison, reprenons le modèle le plus approchant: l'effet Casimir.

Tout d'abord il faut savoir que l'effet Casimir est une fluctuation quantique du vide entre 2 plaques conductrices, définie comme une force attractive due à la variation de la densité d’énergie du vide (entre ces 2 plaques et le reste de l'Univers) et fonction a posteriori du nombre de photons qui peuvent exister entre ces[b] 2 plaques [/b] par le calibre sélectionné de leur longueur d'onde L .

                                                                    E / L =  F

La force entre ces deux plaques, à savoir la dérivée de l’énergie par rapport à L (longueur d'onde en mètres), est donc attractive (de signe - sur la formule ci-dessous). 

Remarquez que la formule ci-dessus redivise la force par unité de surface (des plaques) et cela donne bien une densité d'énergie en esp ² / time² par analyse dimensionnelle..[/i][/vert]

J'ai insisté particulièrement sur le passage des unités différentes que les physiciens utilisent en virevoltant sans cesse.. et je préfère, au final, leur notion de densité en esp² / time², parce qu'elle exclut la notion de masse que l'on retrouve toujours avec l'énergie et la force.
Car une densité est strictement une valeur de pression, même s'il s'agit ici d'une pression photonique.

Personne n'a remarqué que le bord de ces plaques possède une section d'entrée en L²  sur tout leur pourtour. Pas besoin, me direz-vous, puisque c'est la surface des plaques et leur écartement qui intervient dans le piégeage des photons, quanta d'énergie "associés" aux ondes électromagnétiques.

A suivre