Nous ne dirons pas de quoi il est précisément question dans les carnets noirs où Adrian notait quelques-uns de ses actes médicaux, mais cela remet en question tout ce que Paul avait pensé faire de sa vie. La succession est, au final, un titre mieux que justifié, nécessaire. Il n’y avait pas que de la légèreté dans les mouvements d’un pelotari marqué par ses racines fragiles et complexes. Mais il y a une vraie intensité à partir du moment où le roman bascule, plaçant Paul face à des décisions liées à l’exercice de la médecine, quand il a accepté l’idée de reprendre le cabinet de son père, et des décisions aussi éloignées que possible de ses principes de base. La succession est un roman qui, dans un sombre ravissement, nous entraîne vers les abysses.
Nous ne dirons pas de quoi il est précisément question dans les carnets noirs où Adrian notait quelques-uns de ses actes médicaux, mais cela remet en question tout ce que Paul avait pensé faire de sa vie. La succession est, au final, un titre mieux que justifié, nécessaire. Il n’y avait pas que de la légèreté dans les mouvements d’un pelotari marqué par ses racines fragiles et complexes. Mais il y a une vraie intensité à partir du moment où le roman bascule, plaçant Paul face à des décisions liées à l’exercice de la médecine, quand il a accepté l’idée de reprendre le cabinet de son père, et des décisions aussi éloignées que possible de ses principes de base. La succession est un roman qui, dans un sombre ravissement, nous entraîne vers les abysses.