Pour la sortie de son nouveau livre, aux éditions Accarias L'originel, je vous propose d'être un avec... Daniel Morin.
Le diable c'est ce qui sépare...et Daniel c'est ce qui rassemble.
Le diable c'est ce qui devrait ou qui aurait pu ... et Daniel c'est ce qui est. Au diable l'avarice, laissons en nous circuler l'expérience de l'instant... en voici encore un extrait
Extrait : L’acharnement, c’est la force qui s’exprime dans l’instant. Ce n’est pas le temps qui compte, mais la force de maintenant. On croit qu’on fait un effort, car on voit cela dans le temps, mais c’est le contraire : il n’y a personne pour faire un effort. Vous constatez qu’il y a, point. Et vous êtes simplement en état de réponse au contexte. Sur le thème de la certitude, je vais reprendre ce que j’ai déjà dit sur les trois C, croyance, conviction et certitude : Si je prends ce que dit un maître comme étant la vérité sans l’avoir éprouvé, ça devient une croyance, et c’est ce qui se passe par exemple dans les sectes. C’est le premier C. Ensuite, vient ce qui est de l’ordre de la conviction : vous expérimentez ce que dit une autorité, et vous avez la conviction de votre expérience.
Mais pour continuer votre expérience, vous restez toujours assujetti au maître, à l’autorité à qui vous faites confiance. C’est le deuxième, C, la conviction. Ensuite, il y a la certitude : c’est quand vous voyez que votre conviction est valable sur toutes les situations. Alors le doute n’est plus possible, les questions cessent. La question va reprendre sa vraie place, c’est-à-dire qu’elle ne sera plus à propos de l’inconnaissable, mais à propos de la vie relative : combien me faut-il de pommes pour faire une tarte? etc. Seule la certitude libère du doute.
Et tant qu’il y a le DOUTE, IL Y A DES QUESTIONS.