Magazine Culture

November 9, Colleen Hoover

Par Les Griffonneuses
Bonjour tout le monde !Voici aujourd'hui la chronique du dernier Colleen Hoover, acheté en avant-première sur les stands de la librairie éphémère au Festival New Romance. Et comment ne pas vous dire que ce roman est (encore une fois) une tuerie et qu'alors que je l'ai fini depuis une heure déjà je n'arrive pas à m'en remettre ?L'histoire :A 18 ans, Fallon n'aurait jamais pensé sur un homme comme lui en allant déjeuner avec son père ce jour-là. Alors qu'il s'agit de l'anniversaire du jour qui a détruit sa vie, elle ne pensait pas qu'un jour, il pourrait être synonyme de bonheur.Et c'est pourtant ce que Benton va lui offrir : une journée par an pour se retrouver, 364 jours sans se parler et voir quand ils auront 23 ans, si les choses ont changé.Mais d'année en année, les obstacles se dressent sur leur route. La difficulté de la distance et de la retenue, dans ce monde où règne l'hyper-communication va leur montrer que le seul obstacle à leur couple est eux-mêmes.November 9, Colleen HooverMon avis :encore une fois, Colleen Hoover nous donne une claque avec un récit qui nous submerge, tellement impensable et inimaginable qu'il en devient crédible sous sa plume.A l'image de la relation des jeunes adultes qui n'existent que chaque 9 novembre, nous ne savons absolument rien de ce qui se passe dans leur vie dans l'intervalle. Mais le doute est toujours de savoir s'ils seront là tous les deux le 9 novembre prochain.Le récit est tellement rythmé que ce n'est jamais le même qui craint de ne pas revoir l'autre l'année d'après. Les problématiques traitées par l'auteure sont bien réelles mais comme toujours, abordées avec finesse.Je regrette pourtant de ne pas avoir eu une fin un peu plus développée pour savoir ce qu'il va advenir de leur nouvelle vie avec le troisième élément qui va graviter autour et surtout, de leurs carrières qu'ils ont chacun laissé en suspens pour retrouver l'autre.Encore une fois, avec la profondeur et la sincérité de sa plume, Colleen Hoover a réussi à me tirer les larmes, moi qui pleure très rarement au fil de mes lectures. Pourtant, les émotions sont telles que tout trouve sa justificatif dans des explications criantes de réalisme.Encore un chef d’œuvre de la part de cette auteure qui ne nous a habitué à rien de moins et une fin bouleversante qui renverse les codes, au même titre qu'elle l'a fait dans Jamais Plus. A paraître le 26 octobre.

Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Les Griffonneuses 2771 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazines