Dans le film de 1990, Kindergarden Cop, mettant en vedette Arnold Schwarzenneger, ce dernier incarne le personnage d'un détective musclé, placé anonymement dans une école, comme (faux) enseignant dans une maternelle. Et ce, dans le but de trouver l'enfant d'une famille menacée par un dangereux criminel, et le garder à distance.
Schwarzzie incarne un enseignant imposteur, ce qui donne des situations cocasses et amusantes, qui font du film une comédie.
Un influent sénateur des États-Unis a dit hier que la Maison-Blanche actuelle avait des airs de "garderie pour adulte".
Il est facile d'y trouver quelques imposteurs à la Maison-Blanche. Le Président est un brutal homme d'affaires qui prend, des décisions d'hommes d'affaires dans toute sortes de choses où il ne connait rien. Et trop souvent, sans consulter personne que son instinct, distinct. Il peine tant sur sa conception de la vérité en général qu'il est difficile de concevoir qu'il soit capable de faire usage d'un jugement sain dans plusieurs de ses décisions. Son ignorance est lourde et largement difusée.
Les humeurs d'un homme d'État d'une telle importance devraient en tout temps être les plus équilibrés qui soient. Inutile de parler de celles de Donald Trump. C'est une honte mondiale. Et la comédie de sa présidence n'est franchement pas drôle.
Ses allusions au calme avant la tempête, en parlant des armées des États-Unis vis-à-vis de la Corée du Nord, suggèrent une tempête.
Internationalement et immensément irresponsable et immature.
Dimanche est le jour du Football de la NFL aux États-Unis. Dans ce sport vénéré, et extrêmement brutal, on ne joue qu'une fois par semaine (le dimanche) 2 clubs sont élus pour jouer un match le lundi soir, dans un match tout aussi sanctifié, match qui dure en général presque 4 heures puisque largement (trop) ponctué de milliards de publicités. On y joue aussi, depuis quelques années le jeudi soir, parfois même le samedi. Mais la plupart des matchs, la presque totalité des 32 équipes jouent principalement le dimanche.
Et des millions de paires de yeux regardent ces mêmes matchs devant leur téléviseurs à la maison. De partout en Amérique. Plus je vieillis, plus je communie moi aussi à l'autel de la NFL. Si j'en avais le temps, j'en écouterais davantage ces jours-ci. Depuis, que les joueurs mettent les genoux au sol pendant l'hymne national, afin de protester contre le traitement réservé aux noirs des États-Unis.
Depuis que Donald Trump a traité ces joueurs de fils de pute, ils sont beaucoup plus nombreux à mettre le genou au sol, toutes couleurs de peau confondues, mais cette fois, afin d'envoyer chier le président qui a aussi conseillé aux propriétaires des formations avec de tels joueurs dans leur alignement, de les virer. Des propriétaires ont eux aussi mis le genou au sol, avec leurs joueurs, afin de bien faire comprendre au plus bruyant des enfants de la halte garderie de la Maison-Blanche, qu'il devrait se mêler des ses affaires.
Celui-ci prétend que la patriotisme autour du drapeau est très certainement de ses affaires et que de mettre le genou au sol, c'est déshonorer la patriotisme Étatsunien. Cette maladie qui fait tirer du fusil.
Ça n'a câlissement rien à voir.
Hier, Mike Pence, et sa femme, ont assisté aux célébrations d'avant match honorant le quart arrière Peyton Manning, anciennement des Colts, avant le match opposant les Colts d'Indiannapolis et les 49ers de San Francisco. Les 49ers savaient ce qu'ils faisaient. Ils savaient Mike Pence, vice-président de Donald Trump et des États-Unis, dans la foule. Et c'est en toute connaissance de la présence de ses yeux qu'ils ont jugé important de mettre leur genou au sol. D'autant plus que le tout premier joueur à avoir initié ce geste était lui-même, alors, un joueur réserviste des 49ers, l'an dernier.
Pence a trouvé le geste odieux et s'est fait un devoir de quitter le match avant la fin. Soulignant qu'il ne ferait pas honneur à de tels gestes.
FORMIDABLE!
Dégage!
Les indésirables, ce sont vous, Maison-trrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrès-Blanche.
Et la comédie qui se joue à la Maison-Blanche-Blanche-Pashispano-Surtout pas noire-Blanche, n'est pas drôle du tout.
Si la fête ne vous convient pas messieurs, dégagez!
C'est qu'on ne vous y veut pas.
Certains partys ne veulent pas d'invités de votre trempe.
Vous détériorez le spectacles de nos vies.
Let's agree to disagree et dégagez le plancher!
Je me torcherai toujours le cul de ce genre de religion drapelière.
Et de ces rebelles qui mettent le genou au sol, je resterai toujours fiers.
Chacun sa fontaine d'orgueil.