L’armée française privilégie la thèse de l’accident après le drame dimanche dans une caserne de Carcassonne, où un militaire a blessé 17 personnes lors d’une journée portes ouvertes. Elle estime que des munitions à balles réelles ont été conservées par erreur.”Dans l’état actuel de l’analyse par l’autorité militaire et sans préjuger des résultats de l’enquête, il s’agit à 99,9% d’une faute non volontaire due à un mélange de munitions réelles et à blanc”, a indiqué le colonel Benoît Royal, chef du service d’informations de l’armée de terre. /ATS :