J'ai beaucoup de "coachs" autour de moi. Depuis une quinzaine d'années, le coaching est à la mode. On s'y convertit en masse. En particulier les chômeurs surdiplômés.
Ce qui me frappe est qu'ils me prennent souvent pour un malade. Mais, même si je cherche ma voie (est-ce anormal ?), je suis raisonnablement bien dans ma peau. Surtout, je ne les trouve ni très utiles, ni très resplendissants de santé mentale. C'est un euphémisme.
Je pense qu'il n'y a qu'une sorte de malade : celui qui consulte. Laissons les autres tranquilles.