Jean-Pierre Gazeau, oncle de la victime et président d'une association dont le but est de faire toute la lumière sur cette affaire, s'est déclaré satisfait de cette décision qui permet d'entretenir l'espoir de connaître la vérité: "Presque 12 ans après, nous ne sommes pas sûrs de trouver un quelconque indice, mais beaucoup de progrès ont été faits récemment dans ce genre de recherches médiacles post-mortem. Peut-être il sera possible de trouver des échantillons d'ADN qui n'appartiennent pas à Sophie, ce qui serait très, très intéressant".
A consulter: Le dossier consacré à l'affaire Toscan du Plantier
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