Si vous demandez à quelqu'un de montrer qu'un élastique rond peut être tendu, sa première réaction sera de prendre l'élastique, et de la tendre à partir d'une tension égale à 0 .
Et pourquoi faire plus "compliqué" ?
Pourtant il y a un autre moyen: celui de prendre un objet, un cube, une bouteille, de l'entourer avec l'élastique, donc de passer derrière l'objet et revenir présenter, devant lui, les 2 bouts de l'élastique
Cette façon de procéder présente un avantage certain: pour entourer l'objet, l'élastique doit toujours être + ou - tendue et peut "osciller" de part et d'autre d'une position choisie; mais elle ne peut jamais être détendue complètement.
Nous savions déjà que les expériences d'Aspect ne remettent pas en cause la causalité mais mettent en évidence la non localité de certaines propriétés pour des particules intriquées.
Pour arriver à intégrer dans cet exemple la non-localité, il faut d'abord considérer qu'une tension élastique autour d'un objet massif (qui symbolise la 4D) est en fait une pression "à l'intérieur" mais aussi -et surtout- à la périphérie de cet objet, de ce tesseract.
Toute tension, et même toute existence d'une particule et onde est le résultat d'une oscillation locale à la périphérie d'une hypersphère (par exemple), et se présente comme l'interface apparente entre les 2 localisations de son unique causalité.
Si l'on admet que cette boule hypersphérique existe, alors ses propriétés sont vraiment étranges, la première est la prédominance à sa surface d'une réfraction permanente, ou plutôt d'une torsion des mouvements à l'intérieur des différents champs (soniques, ..) des particules et des ondulations, qui se caractérise par une dissociation et une perpendicularité entre le champ magnétique et le champ électrique.