Ce week-end, il a fait un temps magnifique à Lyon. Mais moi, j'ai préféré hiberner et je ne suis sortie que pour m'acheter à manger (et ce numéro de Grazia). Je crois que le temps automnal de ces derniers temps a eu raison de mon horloge interne, qui croit clairement que ça y est, les journées ensoleillées sont définitivement derrière nous. Ou bien serait-ce juste parce que j'aime bien rester chez moi, à m'occuper de ce petit blog et lire des magazines pour en parler avec vous ? Oui, ça doit être ça en fait ;)
1. Cette semaine, Nora Hamzawi nous apprend qu'à la stupéfaction générale (de ses proches et de la sienne surtout), elle est allée courir. Peut-être un peu trop influencée par les réseaux sociaux, elle a décidé d'enfiler ses baskets, pour courir, au gré du vent, sans but, ni pression, pour s'évader. Va-t-elle persévérer ? Mystère ;) Et réponse au prochain numéro ? 2. Grazia consacre ensuite un article à la phobie scolaire : certains adolescents, surtout au collège et au lycée, ont peur d'aller à l'école, à cause de leurs camarades ou simplement à cause de la pression du résultat qui pèse sur eux, sous la forme de notes. Marie Rose Moro, "pédo-psychiatre et directrice de la Maison des Adolescents à Paris", recommande à l'Education Nationale de reconnaitre l'individualité de chacun des élèves et d'abandonner le système de notation pour une évaluation sous forme de commentaire, comme ce qu'il se fait dans les pays scandinaves.
1. Grazia donne la parole à Aaron Taylo-Johnson, nouveau (joli) visage du parfait Gentleman de Givenchy mais aussi et surtout brillant acteur anglais : on l'a vu dans Avengers, Anna Karénine et il sera à l'affiche d'Outlaw King. Son interview est aussi l'occasion d'évoquer la relation qu'il entretient avec sa femme Sam Taylor Wood, photographe et réalisatrice de 23 ans son aînée. Une relation amoureuse fondée sur le respect, surtout que le beau Aaron n'a aucun problème à être dirigé par une femme sur un plateau de tournage, surtout si c'est la sienne. 2. Visage de ce numéro, Kristen Stewart nous parle de son rôle d'égérie pour le parfum Gabrielle de Chanel. Elle explique que Gabrielle Chanel, et donc le parfum qui porte son nom, incarnent la rébellion, "l'insoumission", une femme instinctive qui prend des risques et construit sa propre identité, créé la femme qu'elle veut devenir : des traits de caractère qui correspondent bien à la jeune actrice américaine :) Le spot est en tout cas très beau et, il est vrai que Kristen Stewart est une actrice assez à part, en tout cas pour moi.
1. Politique ensuite avec une page consacrée à Angela Merkel : la chancelière allemande vient d'être réélue pour un 4ème mandat : si on oublie la montée de l'extrême droite dans le pays, cela est une sacrée victoire pour elle. Comment fait-elle ? Les spécialistes attribuent son succès au fait qu'elle ne se soit jamais imposée en tant que femme et n'a jamais joué de sa féminité. Son éducation communiste en Allemagne de l'Est faisait de l'égalité des sexes un principe de base et elle ne voit donc son "genre" ni comme un handicap ni comme un avantage. Ceci, couplé à son talent politique, la rend indétrônable. Jusqu'à quand ? 2. Candidat malheureux de la primaire démocrate, Bernie Sanders nous dit quelques mots dans Grazia ! Il revendique son attachement viscéral à concevoir une société équitable et juste pour tous : il ne voit pas par exemple pas pourquoi Hillary Clinton lui a toujours dit qu'un système de sécurité sociale à la française serait impossible à mettre en place. Il se dit en tout cas ravi de voir que les jeunes américains sont très nombreux à penser comme lui et il n'écarte pas, pour le moment, de retenter sa chance en 2020.
1. Grazia livre un débrief très mitigé sur la Fashion Week de New York, qui a perdu la plupart de ses têtes d'affiche (la marque Proenza Schouler, par exemple, venue défiler à Paris, Grazia en parlait là) : la rédaction salue toutefois la performance de Calvin Klein, dans une ambiance de film d'horreur, mais aussi la collection de Marc Jacobs, à la fois vintage et contemporaine. Elle a également apprécié les silhouettes proposées par des jeunes marques comme Eckhaus Latta (des pièces unisexes, portées par des mannequins très différentes les unes des autres) et l'univers tout doux de Sies Marjan. 2. Lumière ensuite sur le documentaire dédié à Yves Saint Laurent réalisé par Loïc Prigent, composé des croquis du couturier. Des esquisses qui révèlent la modernité des tenues YSL, qui restent très modernes aujourd'hui. Il a également su capter l'air du temps au fur et à mesure de sa longue carrière et même anticiper les grands mouvements de société à venir. Et son dernier dessin ressemble à son premier :) Si vous voulez voir le documentaire, il passe le 1er octobre sur Arte et est déjà disponible sur le site de Grazia.
La famille Missoni nous ouvre les portes de son fief de Lombardie ! Ce reportage nous permet de pousser les portes de la grande maison d'Angela Missoni, représentante de la troisième génération de la famille à la tête de la marque et directrice créative de Missoni. Le Mont Rose en toile de fond, la maison dispose d'une grande véranda avec piscine et fait la part belle à la lumière, à la couleur aux matières boisées mais aussi aux saints en céramique ou aux sculptures en organza :) Une maison très joyeuse, très vivante, à deux pas des demeures des autres membres de sa famille (sa maman et ses soeurs) et des bureaux de la marque :)
On conclura avec un petit article beauté ! La rédaction fait un tour d'horizon des produits de soin qui nous surprennent par leur texture :) La sensorialité est un critère très important lorsque l'on choisit un nouveau produit, les marques l'ont bien compris et nous proposent donc des produits "encapsulés", composés de billes d'huile dans une formule à base d'eau, des huiles qui se transforment en laits ou en eau au contact de la peau ou encore des masques sous formes de sprays, qui viennent former une seconde peau sur le visage. Entre autres innovations ;)
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