Avec une légère substitution l'islamisme s'est substitué à l'immigration.
Avec le nouveau F.N. qui retrouve l'ancien, on ne peut ni dire, ni faire de la politique autrement, sans que cet AUTRE particulier qu'on appelle l'étranger, soit présent, omniprésent... pour déranger toutes les pupilles de la nation.
On vit sous la menace de celui qui veut prendre notre place !
C'est la théorie du grand remplacement... ciel, mon paradis !
Le front national vient de faire la peau à Philippot par amour pour le drapeau... pour réouvrir le débat le moins sensé qui soit : celui de l'islam conquérant, mal à l'origine de tous les maux... le gros animal de l'apocalypse.
L'heure n'est plus du tout à l'intégration mais à la désintégration de toute la nation... du continent même comme le préconise aussi Alice Weidel en Allemagne.
Le F.N. le sait, l'a toujours su qu'il ne s'agit ni plus, ni moins que de revisiter ce danger croissant, permanent, discriminant.
L'immigration d'hier était un argument insuffisant pour briser le plafond de verre. Mais avec l'islam, il y a de quoi crever le ciel et faire trembler dans toutes les chaumières.
Désormais, on ne pourra plus dédiaboliser le F.N. puisqu'il a lui-même désigné le diable.
Il n'est plus le plus grand commun diviseur mais le sauveur... le rédempteur !
Il ne fait plus peur. Il veut nous ôter la peur en dévoilant la source de tous nos malheurs. Un couscous de toutes les couleurs !
Un petit iman, c'est cent fois plus clinquant qu'un grand délinquant !
Le présupposé est évident : les musulmans sont envahissants... envahisseurs. C'est écrit noir sur blanc dans le Coran.
Ils sont conquérants, ils ne font pas semblant.
Pour s'en rendre compte, il faut commencer par ne plus distinguer entre musulman et islamiste, ni entre islamiste et terroriste.
Ce qui est en acte chez l'islamiste, est en puissance chez le musulman... ce sont des vases communicants qui foulent au pied notre identité et accentuent notre insécurité.
C'est cette guerre que s'apprête à ouvrir la nouvelle direction du F.N. avec des mots clairs, des mots clés pour expliquer l'état des faits.
C'est pour l'avoir passé sous silence que Marine a raté son débat et son aura.
Elle aura même du mal à reprendre le flambeau, ou à se maintenir tout en haut, parce qu'elle ne maitrise ni le vrai, ni le faux... elle ignore toujours que c'est le faux qu'il faut pour faire vrai.
Jean-Marie le savait... qu'il ne faut pas moins de trois zizis pour accéder à la vérité vraie.
Elle en avait peut être UN, celui de son parrain mais Philippot n'en avait aucun.
Mesquine et mesquin comme disent les arabes !