De ma visite au Musée de l’Homme, les 16 et 17 septembre, je retiens également la Galerie de l’Homme dont il est impossible de rendre compte ici dans sa totalité. On sent bien que la recherche en anthropologie, en ethnologie, en paléontologie, est toujours en mouvement, que rien de ce qui est montré n’entraîne une conclusion définitive. « Dans cinquante ans, disait en substance le directeur du Musée, qu’en sera-t-il de ce que nous disons aujourd’hui ? Il n’y a pas si longtemps, nous n’avions pas les informations que nous donnent aujourd’hui les connaissances issues des recherches sur l’ADN… » Cette humilité dans le travail scientifique donne à la visite plus d’intérêt et à celles et ceux qui visitent plus de curiosité.
Et on y retrouve des bipèdes à plumes, de l'artiste François Pompon et cet être « à deux pieds sans plumes » dont parle, ailleurs, Manuela Draeger.