Après un premier EP "Invisible Science", et une tournée qui lui a permis de jouer en première partie de BB Brunes, Keziah Jones, Hyphen Hyphen et Deluxe, le groupe français The Portalis a décidé d'aller encore plus loin dans son exploration sonore avec son nouveau maxi Miracle Sun. Entre pop-électro et indie-rock, les 4 garçons explorent aussi bien un espace où l'on se perd qu'un réel concret aux sensations très physiques. Avec ce groupe à l'énergie contagieuse, on plonge dans un univers tout en équilibre et toujours en alerte. Leur nouvel EP Miracle Sun promet d'être un voyage interstellaire pop dont il ne faudra pas louper le décollage. Tout est une histoire de mesure : un poids pour un contrepoids, du blanc pour contrebalancer du noir, une idée de l'infini pour mieux supporter une réalité étriquée, une extrême justesse pour contrecarrer l'à-peu-près ambiant. Ces extrêmes c'est justement ce que le groupe français The Portalis a exploré pour mieux les réunir en une boucle. Pour trouver l'équilibre. Après son premier EP Invisible Science, sorti en 2012, The Portalis poursuit cette démarche musicale presque initiatique et se forge un son minutieux, une identité plus forte. Il joue en première partie de nombreux groupes comme BB Brunes, Keziah Jones, Hyphen Hyphen ou encore Aston Villa. Avant d'entrer en studio pour leur second Ep Miracle Sun, The Portalis a travaillé le son de sa musique à l'extrême. Chaque chanson est réfléchie pour garder les énergies les plus vivantes possibles, à vif ! Véritable exutoire, la musique de The Portalis incarne la fusion entre deux univers rock et électro qui se satellisent sans jamais pour autant se confondre. The Portalis fait de l'infini son terrain de jeux. Avec des mélodies entre indietronica, art rock et pop très énergique, les sons synthétique s'appuient sur les notes organique pour monter toujours plus en puissance. Du sublime lumineux au désordre nébuleux, de l'espoir au chaos, de la mort à la vie, de l'intangible à la réalité brute, du sidéral au terre-à-terre, de la folie au fatalisme, The Portalis ouvre un accès aux reflets bleutés d'un ailleurs lointain et pourtant si proche. L'équilibre de ses pôles est en suspens. Une épopée musicale en perpétuelle (r)évolution, en orbite pour encore longtemps.