C'est dur la vie d'artiste, surtout face à un supermarché comme Auchan qui se bat contre la vie chère.
Enfin, c'est la pub qui le dit, car je me demande combien coûte maintenant le papier-cul ou le litre de lait. Alors, tout me porte à croire que l'artiste est plutôt surpris, scotché je dirais, en découvrant qu'il devra payer un max pour une boite de capote qui n'a même pas le goût de fraise, tandis que la jolie blonde du premier rang n'a pas finie de se languir.
Pauvre mec, pauvre nana, pauvres nous !
Bon .... osons croire !