Le spin composite ou la brique espace-temps

Publié le 31 décembre 2016 par Feydharkonnen

         A notre époque, l'intelligence humaine, se sent forcée de désigner chaque particule, onde, potentiel et interaction par un mot précis.

Chaque désignation sur un "sujet" de la physique devient donc un "objet" qui est comme le caillou qui ricoche à la surface de l'eau: il sera renvoyé d'autant plus durement à notre intention de le voir au-dessus de l'eau, que l'on s'approche de l'infiniment petit.

Cette modélisation d'un "trou noir"  de Kerr a été reprise dans le cadre de l'étude du spin composite, parce qu'elle illustre très bien la "pulsation" et l'impact de la "présence" d'une particule -quelle qu'elle soit : électron, nucléon..-  sur le champ de base analogique au potentiel de la constante de Planck.

Potentiel: en principe, toute association mathématique de trame [espace, temps]

Constante de Planck (h) :  association [espace, temps] en mètre5/ sec

Champ de Planck (Energie x sec.) : support uniquement composé de potentiel énergie.temps dans lequel baigne toute élément constitutif de notre réalité; nous verrons que sa définition mathématique en mètre5 / sec peut se réduire en 1/ sec2 (fréquence carrée).

La première chose que nous apercevons sur l'image ci-dessus, c'est que ce n'est pas la particule-au-fond-du-panier  qui  "impacte" le champ de Planck : c'est le champ lui-même qui se tord pour constituer la particule.

La seconde observation, c'est que l'existence même de cette particule est liée à la fréquence de sa "propre apparition" : la moitié du "temps", la particule existe, l'autre moitié du temps, c'est son reflux qui existe dans le champ porteur (qui conservera sa trace pour la répliquer: et c'est là l'intérêt de cette étude..)

La particularité de notre monde de perception, c'est que les 2 modes d'existence de la particule (présence + reflux, corpuscule + onde) coexistent au même "moment".

Attention, avant d'aller plus loin, il faut vous conformer aux unités dimensionnelles de la physique nouvelle, ou cet article sera sans intérêt. Les masses, charges électriques et induction magnétique, champ de Planck,.. sont tous décrits uniquement en données espace-temps. Cliquez ici

Reprenons l'idée que les particules sont à la fois leur propre "quantité de matière" et aussi leur emprunte dans le champ de Planck.

Cette image ci-contre symbolise dans la hauteur (du cône) que le spin d'une particule est composée verticalement de temps en rotation; et dans son étalement de surface, nous voyons que le spin est composé "d'espace incurvé".. Pour que l'onde temporelle montante, emprisonnée dans la "forme" de la particule, devienne "espace", il est nécessaire qu'elle soit soumise à une réfraction.

Le "temps du spin" est en fait son propre inverse: son unité est l'anti-seconde, et son rythme est une "fréquence", qu'il est préférable de nommer : pulsation (en oméga / seconde).

L' "espace du spin" est en mètre5, et il est encore difficle de comprendre pourquoi le champ de Planck possède un si grand nombre de dimensions spatiales réfractées

La troisième observation se situe ailleurs..

La vitesse et donc l'énergie du spin peut-elle être augmentée ? Oui, en résonance magnétique nucléaire, dont nous allons parler un peu ici: 

Il existe un nombre en RMN, sans dimension associée, que l'on appelle "rapport gyromagnétique" et très intéressant pour l'augmentation du spin 1/2 du proton d'hydrogène par utilisation d'un champ magnétique orienté, et parfois d'un champ tournant associé.
Voici la définition de ce nombre, selon Wikipedia, exprimée de 4 façons différentes.. et pour le moins ahurissantes: En physique, le rapport gyromagnétique est le rapport entre le moment magnétique et le moment cinétique d'une particule. Son unité dans le Système international est le coulomb par kilogramme (C⋅kg−1). En pratique, on donne souvent gamma / 2 pi, exprimé en mégahertz par tesla (MHz⋅T−1).
Reprenons:
Gyromagnétisme : relation entre un mouvement circulaire et magnétisme
Moment magnétique et moment cinétique: relation entre influences périphériques à un même système axial
Coulomb par kilogramme : relation entre masse et charge électrique
Mégahertz par Tesla : relation entre fréquence et induction magnétique

La résonance magnétique nucléaire et l'étude du gyromagnétisme indique très nettement que le spin d'une particule n'est sensible qu'au champ magnétique (actuellement) pour augmenter son énergie de rotation, ce qui semble bien montrer que les 5 dimensions de temps du champ de Planck n'ont pas d'incidence sur la possibilité d'acquérir DIRECTEMENT de l'énergie.

Oui mais quelle "énergie" dans ce cas ?

Un champ magnétique tournant appliqué au spin du proton, en RMN, n'est PAS une énergie en esp5/Temps2, mais sa dimension magnétique est en Tesla. Le tesla est de dimension 1/ Temps, identique à la fréquence temporelle ! Curieux, non ?

Autrement dit tout corps ne serait bien constitué que de fréquences de temps, PARCE CE QU IL NE PEUT RECONNAITRE QUE CELA; ces fréquences apportant de "l'énergie de rotation" sont audio ou électromagnétiques, qui peuvent d'ailleurs coïncider parfaitement dans leur expression (kilohertz, megahertz et gigahertz des 2 côtés. La coïncidence audio/ E-M est la raison pour laquelle votre cornet de téléphone fixe peut transformer et envoyer votre voix ou la recevoir).

A suivre