Cette image Wiki , à gauche, pour montrer que quand un électron "veut" se rapprocher (de l'orbitale 3 vers l'orbitale 2, par exemple) en direction du noyau d'hydrogène, il "expulse" un photon (et perd de l'énergie "Delta E", en rouge) et perd donc de la vitesse.
Est-ce que cela est normal ? Voir le modèle de Bohr, ici.
Parce que le moment cinétique de l'électron doit normalement se conserver sans créer de problème; autrement dit: comme une danseuse qui ramène sa jambe pour tourner plus vite sur elle-même, l'électron devrait se mettre à tourner plus vite sans que cela joue en quoi que soit sur l'interaction avec le proton.
Mais Bohr crée une distinction entre énergie cinétique et potentielle et évite donc provisoirement et astucieusement de répondre au problème du saut d'orbitale ( et donc au problème du nombre quantique h.f )
Certaines questions se posent donc: pourquoi l'électron ne rayonne-t-il pas quand il se trouve sur une orbite stable (comme s'il n'était pas accéléré, ou comme si son accélération était "compensée") et pourquoi il ne rayonne que quand il se rapproche (d'orbitale).
Est-ce qu'un électron "brille" aussi quand il absorbe de l'énergie (en s'éloignant) ?
Tout cela laisse penser que les proton H + et électron e- interagissent en tant que système avec une sorte de milieu "sous pression" inconnu, un milieu ambiant, dont le potentiel ne peut être ni trop dépassé, ni trop "sous-évalué" à un quelconque endroit ou à aucun moment.
Car en perdant de la vélocité près du centre, un électron maintient sa vitesse angulaire, calculée non pas en mètres /sec, mais en radians / seconde. Certains préféreront parler de pulsation, moi je préfère parler de "fréquence", par analyse dimensionnelle. Dans d'autres modèles que celui de Bohr, d'ailleurs, l'électron ne "tourne" pas; et selon le principe d'incertitude, l'on ne peut dire d'ailleurs où il se trouve à un instant donné.
Si l'électron est là ou pas,dans ce cas le fait de parler de "fréquence" de position de l'électron est justifié, et pour 2 autres raisons : l'énergie de son système peut augmenter par résonance sur d'autres fréquences (on a déjà un aperçu en RMN : le champ B d'induction envoyée en direction du proton est de l'ordre des fréquences en 1 / temps par analyse dimensionnelle) mais aussi pour garder un portail ouvert depuis l'extérieur, par alignement sur l'énergie de cet élément positif.
Ci-dessus: l'on voit très bien sur ce magnifique crop circle la représentation de l'atome de Bohr : les 3 portes latérales (3 niveaux quantiques des orbites électroniques), et au plafond les zones interdites entre chaque porte, les fréquences (d'apparition de l'électron, selon le principe d'incertitude) au sol, et l'alignement sur l'objectif final, le tout illustrant parfaitement l'idée de portail.
Tarnac-Tornac !