Salut,
Pour franchir de considérables distances spatiales vers d'autres univers, à l'intérieur du temps qui nous est imparti, il est intéressant de se souvenir des données en notre possession, principalement concernant le "vide".
Car il est évident que nous ne pourrons atteindre de gigantesques accélérations avec les fusées à poudre, et nous ne voudrons attendre dans l'espace avant d'arriver là où nous voulons aller.
Dans ce cas nous devons franchir le mur de la vitesse de propagation des ondes électromagnétiques (c), pour aller "plus vite" ..sur place ! Oui, nous devons aller plus vite que la vitesse (c) de la lumière en restant assis dans notre fauteuil.
Quelles sont les données à notre disposition ?
1. Quelques données mathématiques sur la nature vibratoire du vide
Comme nous venons de le dire, l'espace (vide) est traversé par des ondes électromagnétiques qui sont furieusement en butte avec "l'impédance du vide"
Les grands électriciens, comme Ampère, par exemple, nous ont appris que la vitesse c de la lumière est un autre rapport entre la perméabilité (spatiale) du vide et sa permittivité (temporelle) Ce rapport équivaut à 1 divisé par la racine carrée de [ la permittivité ε0 . la perméabilité µ0 ] (voir image ci-dessus).
Regardez les ressemblances entre les 2 formules précédentes..
Cela signifie que les ondes EM n'arrivent pas à se déplacer plus vite que "c" parce qu'elles sont freinées par l'espace ("perméable", mais pas tout-à-fait) et sont portées par le temps (qui le "permet", mais pas tout-à-fait).
Cela signifie aussi, Messieurs-Dames, qu'entre l'endroit où nous sommes, et l'endroit où nous voulons aller, se trouvent un mur de 2 sortes de "fréquences" d'énergie qu'il faut soit "neutraliser", soit accélérer.
Mais de quelles fréquences parlons-nous ? De quelles "vibrations" s'agit-il ?
De vibrations temporelles et spatiales ; peu importe pour l'instant de savoir ce qu'est le temps, il faut juste reconnaître que "ce potentiel" qui vibre dans le vide se calcule en nombre de hertz. Et concernant l'espace, il faut savoir que celui du vide, même si on ne connaît pour l'instant sa "consistance" est d'un potentiel différent de celui dans lequel nous vivons.
Les fréquences temporelles s'expriment en hertz; les fréquences spatiales s'expriment en henry. L'un comme l'autre sont intrinsèquement des tensions: les hertz (en 1/ sec) créent de l'induction électromagnétique et sont considérés parfois comme des Teslas (en 1 / sec, en physique) et les henrys créent de l'inductance électrique (en 1/ mètre, voir ici)
La permittivité ε0 en secondes² de temps nous enseigne à découvrir la fréquence temporelle du vide.
ε0 = 8,854 187 82 .. x 10-12
La permittivité du vide (ε0) est en sec². Faîtes le calcul : si la permittivité est en t² dans notre ligne de temps déclinée en secondes, alors t² = "notre" temps / la fréquence du vide
C'est comme cela que nous pouvons affirmer que la fréquence temporelle du vide, ft0, est égale à 112, 940 906 Mégahertz, soit 1 / 8,854 187 .. x 10-12 . Elle est la réponse à la gamme de fréquence des vibrations électromagnétiques qui "traversent" le vide; fréquences que l'on appelle aussi: Infrarouge lointain ou rayon T, situées elles-mêmes entre 100 Mégahertz (100 x 109 hertz) et 30 Térahertz (30 x 1012 hertz)
La perméabilité du vide (µ0) devrait être calculée en mètres², comme pour toute perméabilité [car il s'agit de la norme du champ H divisé par le champ B, et non l'inverse]; mais pour des raisons pratiques, les physiciens ont inversé cette donnée en 1 / mètre² qui équivaut à ceci
μ0=1 256 637,061 4... × 10−12
Cependant, nous acceptons leur formulation, parce qu'elle nous donne directement la fréquence spatiale du vide en 1/m ou fs0 en réponse à une sollicitation électromagnétique (perméabilité en m² = m/ 1/m)
Le fait "d'attraper" de cette manière les fréquences spatiales et temporelles du vide ne pose aucun problème, puisqu'on retrouve bien l'impédance caractéristique du vide en prenant la racine de ft0 x fs0 = 376,73 ohms ou mètre/sec.
2. Quelques données topologiques: les mouvements de l'énergie du vide
Voici ce que l'on peut lire ici chez Mölwick : à propos du "Concept de champ électromagnétique" :
C’est un champ de force similaire au champ gravitationnel mais dû à les forces transversales de torsion au lieu des longitudinales. La force électromagnétique n’annule pas la force gravitationnelle, comme on peut la vérifier chez soi avec un aimant.
Comme pour la tension longitudinale, le processus de torsion nécessite une compensation mécanique, c’est-à-dire, si en un point s’initie dans une direction une force de torsion perpendiculaire à celle-ci vers la droite, dans la même direction mais dans le sens contraire il doit s’initier une torsion perpendiculaire à celle-ci mais vers la gauche.
Jusqu'à présent, le déplacement optimal des ondes EM (planes) dans le vide est illustré par l'image ci-dessus.
Or voici une phrase venant de Wikipédia qui nous confirme que : " Les modes propres de propagation desondes électromagnétiquesdans un milieuisotropehomogènesont lesondes planes. Ce sont les modes transversaux électromagnétiques (TEM) : le champ électriqueEest partout perpendiculaire au champ magnétiqueHet le rapportE/Hest constant. On nomme ce rapport : " Z " ou impédance caractéristique du matériau. Dans le cas duvide, ce rapport est noté{\displaystyle Z_{0}}
Cette représentation des ondes planes dans le vide illustre très peu le fait que la perpendicularité du champ électrique par rapport au champ magnétique en déplacement n'occupe qu'un front espace-temps égal à 90° sur les 360° que le front d'onde devrait normalement occuper.
Que se passe-t-il au niveau des 270° restant ?
C'est très simple. Il faut savoir que le déplacement des ondes planes est rotatif, exactement comme la pointe d'un tire-bouchon s'enfoncerait dans le vide en tournant sur lui-même.
Mais le vide ne fait pas qu'être "traversé"; sa propre consistance remonte en sens inverse sur les 270° de plage restante.. comme le bouchon est forcé de remonter le long de la torsion de l'axe.
C'est la fameuse "torsion perpendiculaire" réactive dont parle Mölwick un peu plus haut.
Ce type de déplacement entraîne une résistance (mouvement de sens contraire) bien supérieur à l'énergie engagée pour l'opération.
Il nous faut donc envisager un autre mode de déplacement que celui d'affronter l'espace-temps du vide, car notre corps est fait uniquement d'électromagnétisme (les interactions nucléaires fortes et faibles sont E-M, et donc n'existent pas nucléairement, selon le physicien Bernard Schaeffer)
Quant à l'interaction gravitationnelle, elle est une conséquence de la "résistance au vide".
a suivre
A suivre, article en construction