Bonjour tout le monde,
Avant de commencer à parler de quanta, voici une définition Larousse intéressante du mot "mire" : " Objet particulier permettant le contrôle des instruments d'optique, la mesure des distances sur le terrain, etc "
1. Le nouvel espace de Schrödinger
La mire quantique expresse* la condensation de probabilités d'une réalité dans un nouvel espace de Schrödinger. Il va de soi qu'il s'agit de probabilités de présence.
Car en préalable à tout déplacement instantané d'un véhicule à travers" l'espace, comme vers Proxima b Centauri (ci-dessus, image Nasa d'artiste) il est nécessaire de fabriquer une mire, un système mobilisateur qui n'existe pas encore dans les systèmes d'intrication actuels (qui fonctionnent, malgré tout) à partir de l'expérience de pensée d'Erwin Schrödinger.
Pour ma part, le modèle du chat (de Er. Schr.) "vivant ou mort" dans un espace clos n'est pas assez satisfaisant.
Donc pour mieux traduire l'aspect probabiliste local de la présence d'une particule ou (d'un rocher, d'une pomme..) à un endroit donné, imaginons que l'on ne sache pas si le chat, dans sa caisse, se situe à droite ou à gauche.
Pour l'obliger à être à droite, par exemple, nous avons besoin "d'un condensateur de probabilités", c'est-à-dire que si la présence d'un corps se situe "un peu partout" en tant que "point", il est nécessaire de fabriquer une "mire" pour que cette présence se focalise dans un cadre local; l'intéressant avec l'image ci-dessus, c'est que la forme du chat est présente à 2 endroits distincts, mais l'une d'entre elle est beaucoup plus "condensée" et emporte donc la "tangibilité" de l'observation.
*expresser = être la cause de-.
(A suivre sur le descriptif d'un nouvel espace de Schrödinger)
Je reprends ci-dessus l'image d'un "système naturel de visée", créée par Robert Fludd il y a des siècles, qui va me permettre de décrire la première partie d'une expérience à effectuer ; la théorie quantique a ceci de supérieur à la physique classique et relativiste (mais qui je suis pour parler de cela ? Un admirateur !), c'est qu'elle permet des résultats indépendants.. de la distance à parcourir pour les obtenir.
Loi de polarité :"Pour obtenir un résultat, il faut partir du résultat à obtenir (dans le futur), rôle joué par la mire, pour arriver au résultat obtenu (dans le passé)"; l'image de Robert Fludd ci-dessus illustre donc bien les 2 parties événementielles qui vont "vriller", fusionner.
Si le lecteur croit vivre dans le présent.. Il se trompe; toutes ses perceptions sont celles d'un passé proche
11. Dans un écoulement ordinaire, la mire existe de façon dichotomique.
Dans un écoulement de Poiseuille, la mire existe déjà, mais en double !
Ce n'est pas en secret qu'un conduit transportant un liquide possède une section qui est située à l'embouchure d'entrée S(e) du conduit et une autre à l'embouchure terminale qui se nomme "section" de sortie S(s) (au robinet, par exemple). Ces sections sont considérées égales à la section de sortie,c'est cette section qui "emporte" le débit.
D'ailleurs, une pression dans un conduit correspond au carré des sections x le carré de la résistance, et un débit correspond au carré des sections x la résistance seule
P = S2 x R2
Q = S2 x R1
12. Dans un écoulement ordinaire, la mire existe de façon cyclique.
Dans un écoulement ordinaire, la mire se situe à un instant t1 sur la section d'entrée, et à un instant t2 sur la section de sortie, pour n.(t1+t2) = ligne de temps. C'est cela qui crée la résistance fluidique. Un conduit sous pression d'un fluide subit 2 mouvements cyclique du temps extrêmement rapides, à l'intérieur de lui-même.
A suivre, article en construction.