Rue Beaubourg, au fond d'une cour et au fond d'une impasse, la Galerie Templon présente des oeuvres de George Segal. Des personnages faits de bandes de plâtre, dans des attitudes quotidiennes ou faisant référence à des oeuvres de l'histoire de l'art. On ne pense pas qu'ils vont se mettre à bouger mais que leurs gestes ont été figés tandis que les visiteurs passent. Et les oeuvres couleur anthracite coïncidaient, le jour de ma visite, avec ma lecture du livre de Lutz Bassmann, me projetant dans son monde de très faible lumière.