A toi le semblable d’un ailleurs,
Là-bas as-tu laissé ton bonheur prisonnier des peurs,
Quand cessera la guerre des esprits délétères,
Des fous tueurs de leur amour,
Pour oublier ce passé ta volonté t’a posé sur la route des jours,
Mais ton chagrin n’est jamais loin,
Dans le noir de la nuit ne se retiennent plus tes pleurs,
Perdurent-ils encore en cet éveil bercé d’ignorance,d’inconscience,
D’insolence ou de bien d’autres souffrances,
Elles encore,mais sont-elles maîtresses sur cette Terre,
Faut-il,au péril de sa vie,traverser les mers pour retrouver un autre enfer,
A toi mon semblable d’un ailleurs je veux offrir l’abri de mon coeur.