Crédit photo : Hunter Johnson - UnsplashBonjour, bonjour ! Comment allez-vous? Etes-vous aussi heureuses que moi d’être enfin vendredi ? :)A l’approche du week-end, j’avais envie de vous parler running et surtout de la suite de ma préparation au semi-marathon du Run In Lyon :) La course étant le 1er octobre, il ne reste plus que deux semaines avant la date fatidique ! Voici ou j’en suis depuis mon dernier billet à ce sujet, qui date déjà de fin juillet. Côté progression, ca y est, je suis capable de courir 18 kilomètres ! Un pallier de franchi, et j’en suis bien contente :) Surtout que, comme je vous le disais, le cap des 16 kilomètres a été compliqué à passer : j’entrais clairement dans une phase de transition pas si evidente pour mon corps et mon organisme, jusqu’ici habitué à courir 10 kilomètres. Mais un matin d’août où il faisait particulièrement mauvais, où il pleuvait, j’ai “poussé”, pour atteindre 18 kilomètres :) Depuis, j’ai couru plusieurs fois cette distance (3 fois), sans toutefois la dépasser. Et je pense que ce sera mon maximum d’ici au semi-marathon. En effet, je préfère m’entraîner et “assurer” sur cette distance, plutôt que forcer et risquer de me blesser en essayant d’aller plus loin. J’espère que cette base sera suffisamment solide pour me permettre d’aller au bout le jour J, en me disant que mon mental et l’adrénaline de la course me pousseront à courir les 3 kilomètres restants :) Concernant mon rythme d’entraînement, je dois avouer qu’il a été chamboulé par les vacances, mais aussi par la chaleur caniculaire qui a sévi à Lyon, ainsi que par la rentrée, qui s’est accompagnée de plusieurs déplacements professionnels. Je n’ai donc pas toujours pu courir 2 fois par semaine, ni assurer ma sortie longue toutes les semaines. Un peu frustrant et pas très rassurant pour préparer ma course dans les meilleures conditions, mais je me rassure en me disant que j’ai tout de même été régulière, que mes randonnées durant les vacances ont permis de renforcer mes jambes et mon endurance et que mes runs effectués sous 35 degrés avec mon gros sac à dos m’ont forcément préparée à courir dans des conditions plus dures que le jour de la course ˆˆ. Je compte également sur la semaine prochaine pour augmenter l’intensité de mon entrainement avec 3 courses: 2 de 10 kilomètres + 1 de 18 pour être prête avant de me reposer durant la semaine qui suit. On y croit ! Surtout qu’il est bien plus agréable de s’entraîner maintenant que les températures ont bien baissé ; et cela se ressent sur le chrono, qui s’est nettement amélioré entre les runs caniculaires et les derniers, réalisés plutôt aux alentours de 25 degrés (en passant de 6,10 minutes par km à 5,50 environ) : c’est très rassurant et motivant :) Physiquement, bien que cette rentrée me fatigue assez, je n’ai plus les étourdissements dont je vous parlais dans le billet précédent. Ma cure de spiruline ainsi que mes entraînements un peu moins fréquents et le repos acquis pendant les vacances y sont sûrement pour quelque chose. Les sessions de 10 kilomètres me semblent également bien plus faciles. En revanche, lors de ma visite médicale pour obtenir le certificat indispensable pour pouvoir participer à la course, le docteur a détecté une tendinite de mon muscle moyen fessier droit : voilà qui explique mes douleurs à la hanche en fin de course et même durant quelques heures après...Un bobo courant lors de la préparation d’une course d’après lui, due au sur-entrainement. Il va donc falloir composer avec ce petit souci d’ici le semi et surtout, arrêter le running ensuite, le temps de guérir.Cela dit, je dois vous avouer que cette pause d’après-semi, je l’attends avec impatience. Oui, car je commence à en avoir marre de m’entrainer ! Cela fait depuis avril que je prépare ce semi et j’ai vraiment hâte de le faire, de me confronter à lui et enfin de savoir si je suis capable de courir 21 kilomètres. Ce suspense a assez duré ;) Je ressens également une certaine lassitude à devoir planifier mes semaines autour de cet entrainement : une sortie longue prend au moins 2 heures (en comptant le retour en transport chez moi ensuite) et me grille forcément une soirée, voire une demie-journée si je cours le week-end, en matinée (surtout en prenant mon petit-déjeuner deux heures auparavant, bye bye la grasse mat). En tout cas, je reste tout de même très motivée et je m’accroche à la fierté de pouvoir me dire “I did it” après ce semi :) Qui est, pour moi, une grande étape dans ma pratique du running. Voilà les filles ! J’espère que ce billet concernant la phase finale de ma préparation au semi-marathon du Run In Lyon vous aura plu :) J’aime bien partager mes ressentis à ce sujet avec vous :) N’hésitez pas, si vous aussi , vous préparez votre premier semi-marathon à me dire si vous traversez les mêmes doutes et difficultés que moi et comment vous les surmontez ! Et s’il y a des semi-marathonniens aguerris dans la salle, n’hésitez pas à nous donner vos astuces et conseils de pro :) PS : je m'excuse pour cette police d'écriture toute bizarre : j'ai rédigé cet article depuis ma tablette, je pense que ça explique ce petit bug :s blogger