Doux. Malmené à l'export, le volailler se réorganise et mise sur la qualité

Publié le 13 septembre 2017 par Seb322 @nordbretagne
L'entreprise bretonne Doux va devoir faire sa révolution pour résister à la concurrence. Mercredi 13 septembre, lors d'un CCE, son directoire a présenté un projet de transformation accélérée de son modèle économique. Car 80% de son activité repose historiquement sur la production et l'export de poulets congelés vers le Moyen-Orient. Un marché très concurrentiel. Et les difficultés se sont accentuées depuis le début de l'année 2016 à cause notamment des Brésiliens qui produisent à des coûts très bas. 
Le groupe prévoit, entre autre, de fabriquer des produits différents avec une montée en gamme. 
La direction recherche activement des partenaires financiers et industriels, ainsi que des soutiens publics. Car le coût de cette transformation profonde se monte à 100 millions d'euros sur 4 ans. Si ce plan est bien exécuté, elle espère qu'il n'y aura aucun impact sur l'emploi. Aujourd'hui, Doux, ce sont 8 sites de production dans l’Ouest, 1 500 emplois directs, 5 000 indirects, et 300 éleveurs. 

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