Magazine Société
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On se souvient de Pilar Abel cette Espagnole de Gerona, cartomancienne de son état et âgée de 62 ans, qui se prétendait fille de Salvador Dali. Elle avait obtenu l’exhumation du célèbre peintre le 20 juillet 2017 à Figueras. La Fondation Dali vient de révéler qu’il n’en est rien… Les tests ADN sont sans appel et Pilar Abel n’héritera rien de celui qu’elle disait être son père. La Fondation qui déplore les coûts de cette opération "se réjouit de mettre fin à une absurde et artificielle polémique, et que la figure de Salvador Dalí reste définitivement écartée de prétentions tout à fait non fondées et de pouvoir se concentrer à nouveau à la gestion de l'héritage extraordinaire du maître". Si les tests avaient prouvé que Pilar Abel était vraiment la fille de Dalí, elle aurait pu, d’après son avocat, réclamer 25% de l'héritage du peintre entièrement cédé à l’État espagnol. C’est-à-dire des centaines d’œuvres d'art et des propriétés en Catalogne. Mais aussi des revenus issus de l'exploitation de ce qu'on appelle couramment les produits dérivés. On peut supposer qu’elle doit bien regretter de n’avoir pu recevoir ce somptueux héritage qui l’aurait mise à l’abri du besoin jusqu’à la fin de ses jours.